Parce que, quand j'aime, j'ai envie de le faire savoir et de partager !
Parce que, quand j'aime, j'ai envie de le faire savoir et de partager !
Rappel : La loi de Murphy est aussi appelée loi de l'emmerdement maximum !
Loi de l’inertie féline
Un chat au repos tendra à rester au repos, sauf s’il est mû par une force externe, telle que l’ouverture d’une boîte de Ronron ou l’apparition d’une souris.
Loi du mouvement félin
Un chat se déplace linéairement, sauf s’il a une bonne raison de changer de direction.
Loi du magnétisme félin
Plus la veste est bleue ou le pull noir, plus ils attirent les poils du chat.
Loi de la thermodynamique féline
La chaleur passe d’un corps chaud à un corps froid, sauf pour les chats : toute la chaleur passe vers le chat.
Loi de l’extension féline
Un chat s’étirera jusqu’à une distance proportionnelle à la sieste qu’il vient de faire.
Loi du sommeil félin
Tous les chats doivent dormir avec un humain autant que possible, dans une position aussi inconfortable que possible pour la personne concernée, et aussi confortable que possible pour le chat.
Loi de l’élongation féline
Un chat peur allonger son corps suffisamment pour atteindre un comptoir où se trouve quelque chose de vaguement intéressant pour lui.
Loi de l’obstruction féline
Un chat doit rester étendu sur le sol dans une position telle qu’elle occasionne le maximum de gêne pour la circulation humaine.
Loi de la présence à table
Les chats doivent assister à tous les repas, quand quelque chose de bon est servi.
Loi de la configuration des tapis
Aucun tapis ne garde sa configuration plate très longtemps.
1re loi de la conservation de l’énergie
Les chats savent que l’énergie ne peut être ni créée ni détruite, et donc en utilisent aussi peu que possible.
2e loi de la conservation de l’énergie
Le chat sait que l’énergie ne peut être conservée que par beaucoup de sommeil.
Loi de l’observation du réfrigérateur
Si un chat regarde un frigo assez longtemps, quelqu’un viendra et en sortira quelque chose de bon à manger pour lui.
Loi de la recherche aléatoire du confort
Un chat recherche et s’appropriera toujours l’endroit le plus confortable, quelle que soit la pièce où il se trouve.
Loi du remplacement des meubles
Le désir d’un chat de griffer les meubles est proportionnel au coût des meubles.
Inutile de rappeler la signification de ce mot que tout le monde connaît, et tel n'est pas mon propos. Pas plus que de faire preuve d'une légère grivoiserie, même si le printemps peut provoquer chez certains une brusque montée de sève, en traitant de "foutre au cul" ; de nombreux sites pornographiques sont présents sur la toile, un clic et vous voilà parés !
Je ne résiste pas cependant à publier ces quelques phrases du divin marquis qui, s'il est légitime d'en critiquer les moeurs, n'avait pas la plume dans le cul.
Mme de Saint-Ange : Ce sont de vieilles habitudes. Quand on pense comme moi, on veut être foutue partout et, quelle que soit la partie qu'un engin perfore, on est heureuse quand on l'y sent. Je suis pourtant bien de votre avis, et j'atteste ici à toutes les femmes voluptueuses que le plaisir qu'elles éprouveront à foutre en cul surpassera toujours de beaucoup celui qu'elles éprouveront à le faire en con. Qu'elles s'en rapportent sur cela à la femme de l'Europe qui l'a le plus fait de l'une et de l'autre manière : je leur certifie qu'il n'y a pas la moindre comparaison, et qu'elles reviendront bien difficilement au devant quand elles auront fait l'expérience du derrière.
J'ai appris qu'à je ne sais quelle époque (j'écoutais la radio d'une oreille distraite), les homosexuels étaient appelés "foutre-en-cul" ou "foutre-au-cul". Inutile de faire un dessin... Je trouve que cette appellation est un peu réductrice. Parce que le foutre en cul - coït anal, enculerie ou enculade, sodomie (1), pédication pour les plus cultivés... - n'est pas l'apanage des homos, et que d'autres pratiques ont cours, fellation (royale voire impériale), irrumation, pipe, plume, sucette, pompier, gâterie, turlute (2)..., sans oublier l'anulingus, plus poétiquement nommé feuille de rose, dont Apollinaire se fit le chantre :
Julie ou la rose
Ah faites-moi feuille de rose
Prenez pitié en mon aveu
C'est une langue que je veux
C'est mon cul que je vous propose
Mon cul s'éveille au souvenir
D'une inoubliable caresse
Que m'enseigna une négresse
Dans un hôtel rue d'Aboukir
J'avais seize ans et des torsades
La noire me jugeant à point
Régala mon cul d'un shampooing
Plus savoureux qu'une enculade
Je porte aujourd'hui les cheveux
Roulés en chignon sur la nuque
Mais j'aime encore qu'on me trouduque
Car j'ai le sphincter très nerveux
Et j'ai gardé très peu de hanches
Afin de pouvoir exhiber
Le tralala le plus bombé
Des tralalas que l'on emmanche
Et mon anus est pour le doigt
Une merveilleuse alliance
Mais tu n'es pas bègue commence
Par le baiser que tu me dois
Je sens que ta langue pénètre
Et je décharge ô mon joli
Dufayel paierait cher peut-être
Pour voir ce qu'on fait dans son lit.
(1) Wikipédia nous cultive : "Culbutation", "tassement de crotte", "pousser le plat de la veille" ou "boxe du ver solitaire". De manière extrêmement vulgaire, on utilise les termes "péter la rondelle", "prendre le cul", "casser le cul", "prendre par derrière", "baisage de boule " ou de "fion" et "enculade". Ce dernier, "se faire enculer" et enfin "casser les pattes arrière", est aussi utilisé pour désigner le fait d'être victime d'une escroquerie ou d'être le perdant d'une bagarre. Dans le canular dit Catalogue des prix de l'amour de Marcelle Lapompe (!), le terme utilisé est "voyage en terre jaune". Un manuel taoïste érotique du XIIe siècle nomme le fait de sodomiser "jouer avec la fleur du jardin de derrière".
(2) Wikipédia nous propose aussi le baiser au grand chauve, le pipou, la bouffarde, la flûte (éventuellement enchantée), ainsi que de descendre au barbu, de remonter la grande échelle du chef de la police, de fournir le dentifrice, de faire un karaoké, de chanter dans le micro, de fumer le cigare à moustaches, de taper dans la glotte, de détartrer le larynx ou de repeindre l'oesophage...
*
De ce foutre-au-cul dérivent deux concepts (au moins) :
- Le foutroccultisme, qui désigne un ensemble de courants préoccupés par les forces mystérieuses du foutre et de l'homme. Parfois adeptes des incubes et des succubes.
- La foutrecuidance, qui traduit une confiance excessive en son membre viril et en particulier en la richesse de son liquide séminal.
- Sans oublier les foutrageurs, qui baisent à couilles rabattues, et les foutranciers, qui en veulent toujours plus.
Vous auriez peut-être souhaité quelques illustrations sur lesquelles axer vos fantasmes ? Ne compter pas sur moi. Mais un peu de musique, peut-être ?
Clique sur printemps, puis clique, clique, clique...
La musique
(Baudelaire)
La musique souvent me prend comme une mer !
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile;
La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile
J'escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile ;
Je sens vibrer en moi toutes les passions
D'un vaisseau qui souffre ;
Le bon vent, la tempête et ses convulsions
Sur l'immense gouffre
Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir
De mon désespoir !
Je pense que je vous ai déjà servi cette blague, ici ou sur l'autre blog. Mais je l'adresse ce soir tout spécialement à un ami, espérant qu'elle le fera sourire un instant.
Avant le mariage
Elle : Salut !
Lui : Ah, depuis le temps que j’attends ça !
Elle : Tu veux que je parte ?
Lui : Non, je n’ose même pas y penser.
Elle : Tu m’aimes ?
Lui : Bien sûr ! Enormément.
Elle : Tu m’as déjà trompée ?
Lui : Non ! Pourquoi demandes-tu ça ?
Elle : Tu veux m’embrasser ?
Lui : Chaque fois que j’en aurai l’occasion.
Elle : Tu me battras un jour ?
Lui : Tu es folle, je ne suis pas comme ça.
Elle : Je peux te faire confiance ?
Lui : Oui.
Elle : Chéri !
Après le mariage
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criaient ses groupies sur son passage, agglutinées contre les barrières de sécurité, dindes hystériques qui se cassaient la voouuuaaaaaa, le briquet à la main. J'ai l'air de me moquer, mais je l'aime bien, Patrick, et quand on aime, on ne compte pas... les conneries que l'on peut faire, tout sens du ridicule perdu.
May the leprechauns be near you
To spread luck along your way.
And may all the Irish angels
Smile upon you St. Patrick's Day.
Pour moi, c'est l'extase, le casque sur les oreilles, les yeux clos...
« À d'austères devoirs le rang de femme engage,
Et vous n'y montez pas, à ce que je prétends,
Pour être libertine et prendre du bon temps.
Votre sexe n'est là que pour la dépendance :
Du côté de la barbe est la toute-puissance. »
Molière, L'Ecole des femmes.
Je ne suis pas férue en pogonologie, loin de là, mais rien de ce qui est humain me me laisse indifférente ; alors pourquoi ne pas être un peu sérieuse pour une fois, et vous parler d'un sujet inhabituel : la barbe, en espérant de pas trop vous barber.
La barbe, qui apparaît lors de la puberté, est un caractère sexuel secondaire, c'est-à-dire qu'il différencie l'homme de la femme, sans être un organe sexuel. Les caractères sexuels secondaires, régis par les hormones sexuelles - testostérone chez l'homme - ont une importance lors de la compétition pour s'accoupler avec un individu du sexe opposé (cf. les plumes colorées de la queue du paon lors de la parade nuptiale - ah si l'homme avait... mais je m'égare)
La mode de la barbe varie selon les époques. Voyez les dieux et les héros de la mythologie grecque, David, Apollon... Mais le dandy, imberbe, délicat et fragile, fut apprécié en son temps (et l'est encore !). Si elle fut parfois un critère de beauté ("ornement de l'homme", dans le Talmud), de maturité ou de sagesse, elle fut en d'autres temps décriée, considérée comme un signe de négligence voire un manque de propreté.
Aujourd'hui, certaines femmes apprécient qu'un homme soit barbu, croyant trouver dans cette pilosité un gage de générosité, de bonté et surtout de virilité (l'homme "brut", cf. Chabal). D'autres au contraire sont rebutées, la trouvant sale, piquante, voire dissimulatrice (on peut "rire dans sa barbe").
Il existe différents styles de barbes : le collier, le bouc avec ou sans moustache, la barbiche, les favoris... Et le gratte-foufoune ? Qu'en pensez-vous, Mesdames ? Efficace ?
Et il y a la barbe de trois jours à la Gainsbourg, faussement négligée et extrêmement sexy.
Que voit un barbu lorsqu'il se regarde dans son miroir ? Mais a-t-il l'occasion de se voir puisque, ne se rasant pas, il ne lui est pas nécessaire de passer chaque matin quelques minutes à contempler son reflet ? Cherche-t-il à fuir son image ?
Je garde un souvenir ému de la première fois où j'ai vu un homme se raser, au petit matin. Regarder un homme qui se rase me trouble toujours, peut-être parce que, abandonnant à cet instant l'un de ses attributs masculins, il me laisse le voir dans sa fragilité, dans sa "nudité". Mais peut-être suis-je tordue ? Il faut que j'en parle à mon psy !
anarcho-agnostique et idéaliste pessimiste... et cyclothymique
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