Après le show de Johnny, que j'ai regardé avec grand plaisir (même pas honte, et j'ai chanté, si si !), une amie peintre me fait découvrir cette vidéo sur FB. J'aime Fauré et sa Pavane, et j'adore Nicolas de Staël, l'un de mes peintres préférés. Alors une vidéo qui lie ces deux talents, je ne peux que la proposer à votre appréciation.
Un peu plus de talents ? de douce passion ? de douceur passionnée ? ...
Le "prince foudroyé" est aussi dans mon hall of fame de la peinture ; merci caritate.
La morale est une solitude et la question, selon moi, n'a de réponse qu'au travers de cette interrogation : pourquoi (finalité) maintenir un lien dont la légitimité n'est que contractuelle si la notion de contrat, donc de gain mutuel, n'est plus remplie ? L'amour n'étant qu'une des clauses dudit contrat (on voudrait dire la meilleure) et le choix pouvant s'exercer sur d'autres items.
Le plus surprenant reste cette notion de "l'amant", unique & définitif, qui oublie trop facilement, le collectionnisme de certain(e)s et le bégaiement affectif d'autres.
Quelle éthique pour des atermoiements étiques ?
Rédigé par : JeanBalthazar | 27 mars 2011 à 09:40
Pourquoi attribuer à l'amant un caractère unique et définitif ? Cette terminologie évoque au contraire pour moi un amour transitoire, une liaison passagère ; mais existe-t-il autre chose, un amour absolu, pérenne, qui résiste au temps et même à la distance ? Peut-être que oui, dans des cas rarissimes !
Rédigé par : Caritate | 27 mars 2011 à 10:17
D'une synthèse de tes notes, tu sais ce que je pense... (au boulot !)
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 28 mars 2011 à 17:28