INES = Institut National de l'Energie Solaire, créé en 2006 à l'initiative des pouvoirs publics, pour promouvoir et développer en France l'utilisation de l'énergie solaire. Nous évitant du même coup le trou dans la couche d'ozone, le réchauffement planétaire... et la taxe carbone !
Le prénom Inès a pour origine le prénom latin Agnès, lui-même inspiré de l'adjectif grec agnê qui signifie "sacré".
J'ai dû me creuser les méninges pour retrouver ce que m'évoquait le nom de Dona Inès, j'avais l'idée d'un personnage de roman... Don Juan !
Si vous êtes allés jusqu'au bout de la vidéo, chapeau ! vous avez gagné le droit de rejouer !!!
J'aurais mieux fait de vous parler d'Inès, Marie, Laetitia, Eglantine, Isabelle de Signard de la Fressange. En voilà une femme qu'elle est belle ! Mannequin à l'âge de 17 ans, elle pose pour Elle, défile pour Thierry Mugler et les grands couturiers. Karl Lagerfeld la choisit pour être l'égérie de la maison Chanel. avec qui elle signe un contrat d'exclusivité. Choisie en 1989 comme modèle du buste de Marianne, son contrat sera cassé car elle ne cède pas à Lagerfeld qui lui demande de refuser de poser en Marianne : "Je ne veux pas habiller un monument, c'est trop vulgaire !" Elle crée sa propore griffe et sa boutique de prêt-à-porter de luxe. Licenciée de sa propre société, elle n'a pas les droits d'usage de ses nom, prénom et image. Pour ses cinquante ans, elle a fait la couverture du magasine Elle (4 février 2008). Elle soutient l'action de l'association Orphelinats d'Afrique et est marraine de l'association Mécénat Chirurgie Cardiaque. Une belle et grande dame !
Un peu de sérieux : "C’est le bienheureux Alain de Roche, un des premiers disciples de saint Dominique, qui coordonne le chapelet et l’enrichit en y ajoutant les méditations, ainsi que la vie de Jésus et de Marie. Il l’appelle le chapelet du Rosaire parce qu’il ressemblait à un bouquet de roses qu’on dépose aux pieds de la Vierge." J'en connais à qui ça devrait plaire, des chapelets de roses ! Aussi efficaces que des couronnes d'épines, mais tellement plus odorants.
Duhamel, Minc, Touraine, Afflelou, Delon, Lipietz, Bougrain-Dubourg, Calmat, Chabat, Juppé, Madelin, Peyrefitte, trait d'union-Fournier, sans oublier le philosophe tout court... pour ne citer que les plus connus.
Le talent à l'état pur ! Monsieur Souchon ! De meilleur en meilleur, affirme-t-elle en bon français ! J'espère qu'un jour on étudiera ses textes à l'école, ce sont de vrais poèmes. Mais là je rêve, on étudiera plutôt les textes des rappeurs.
Nativité Notre-Dame, voilà ce qui est inscrit sur mon (mes) calendrier(s).
Les évangélistes ne nous disent pas où est née Marie. On sait seulement qu'elle était parente d'Elisabeth qui habitait en Judée. Il n'est donc pas impossible qu'elle soit elle-même originaire de Jérusalem comme le veut une antique tradition dont on trouve trace dans l'évangile apocryphe de Jacques, qui nous parle des parents de la Vierge, Joachim et Anne Il existait également et très anciennement, à Jérusalem, une maison appellée "la Maison d'Anne." Près de cette maison fut érigée une église dont la dédicace eut lieu un 8 septembre. L'anniversaire de cette dédicace fut commémoré chaque année. La fête s'étendit à Constantinople au 5ème siècle puis en Occident. Plus tard, on lui adjoignit la fête de sa conception, neuf mois auparavant d'où le 8 décembre. La Nativité de Marie est une des grandes fêtes de l'année liturgique byzantine car elle inaugure l'économie du salut et l'inscription du Verbe de Dieu dans l'histoire des hommes (source : Nominis).
Notre-Dame est célébrée, entre autres, dans un petit village du Pas-de-Calais, Ablain-Saint-Nazaire, entre Arras et Lens : Notre-Dame-de-Lorette La nécropole a été créée sur le site de l'ancien oratoire du XVIe siècle fondé par un peintre du village après son retour de pèlerinage à Lorette en Italie, sur une colline de 165 m où les batailles d'octobre 1914 à octobre 1915 firent 100 000 morts et autant de blessés. Dès la fin de la guerre, le site s'imposa comme lieu de commémoration du sacrifice de centaines de milliers de combattants. Le petit cimetière fut agrandi etl reçut les corps de soldats français provenant de plus de 150 cimetières des fronts de l'Artois, de l'Yser et du littoral belge. Ce plus vaste des cimetières militaires français accueillent 40 058 corps dans des tombes individuelles et dans sept ossuaires. Sa surface est de 25 hectares. Deux grandes allées forment, en se croisant, une vaste esplanade, vouée aux célébrations. De part et d'autre, deux imposants monuments, deux ouvrages de l'architecte lillois Louis Cordonnier et de son fils : - la tour-lanterne, haute de 52 mètres, avec son phare visible à plusieurs kilomètres à la ronde, abrite une crypte accueillant les corps de plusieurs milliers de soldats non identifiés ; - la basilique, romano-byzantine par son style, comporte des fresques religieuses et des vitraux qui évoquent les événements de la Grande Guerre et l'histoire religieuse et patriotique de la France, ainsi qu'un triptyque dédié à Notre Dame de Czestochowa, patronne vénérée des Polonais. A l'extérieur, une table d'orientation permet de situer les lieux des combats des collines d'Artois, sur l'axe Béthune-Arras. Au-delà, la colline de Mont-Saint-Eloi, dont l'abbaye est en ruines, et aussi celle de Vimy. Un musée est situé sur la colline même, à 200 mètres de la chapelle ; présentant plus de 2000 pièces de collection et reconstituant le cadre quotidien des soldats de la Grande Guerre : des abris souterrains avec installations téléphoniques, postes de secours et locaux spécifiques.
Nom propre que l'on rencontre dans une expression très répandue dans le Midi et plus particulièrement dans la région marseillaise : "Fais du bien à Bertrand, il te le rend en caguant." Cette formule triviale s'emploie pour stigmatiser l'ingratitude dont on peut être amené à se plaindre. En fait, cette expression, à l'origine, n'avait rien de vulgaire puisque c'était : "Fais du bien à Bertrand, il te le rend en chargeant" (c'est-à-dire en accablant, en étant mauvais...), l'astuce consistait à faire tomber le "r" du participe provençal cargant.
Si quelqu'un n'a jamais vérifié la véracité de cette expression, qu'il m'écrive !
Je ne sais pas pourquoi cette expression m'en évoque une autre : "Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la gale."
Le prénom Raïssa a une étymologie grecque : "eirênê", paix ; il me semble important de le signaler à ceux qui le croiraient d'une autre origine ! Sainte Raïssa fut martyre à Alexandrie au IVe siècle. Fille d'un prêtre de Fayoum, à la frontière du désert de Libye, elle a vingt ans quand éclate la persécution de Dioclétien. Alors qu'elle se rend au puits pour y chercher de l'eau, elle croise un cortège de moines et de vierges arrêtés par la police qui les conduit à Alexandrie dans des conditions atroces, avant de les exécuter. Elle veut se joindre à eux. On la repousse. Elle revient à la charge, proférant tant d'injures contre les dieux qu'elle est mise dans le cortège et qu'elle a la tête tranchée.
J'espère qu'une lectrice assidue va nous apporter ses connaissances sur deux Raïssa : Raïssa Maritain et Raïssa Gorbatchev. Allez, au boulot ! Merci d'avance. Bien sûr, je pourrais faire un copier/coller des informations que je trouverais sur le net, mais tout un chacun peut le faire, et cela manquerait d'authenticité.
Peut-on imaginer Rosalie sans César... et sans David ? C'est la question posée par Claude Sautet en 1972. Rosalie (Romy Schneider) vit depuis quelques temps avec César (Yves Montand), vendeur en métaux de récupération. Le jour du remariage de sa mère, Rosalie retrouve un ami d'autrefois, David (Sami Frey). Celui-ci, au cours de la réception qui suit, avoue à César qu'il aime encore Rosalie. A partir de ce moment, César fait tout pour éloigner David, mais il irrite si profondément Rosalie que celle-ci part vivre auprès de David. César n'abandonne pas pour autant la partie, et rejoint le couple sur la côte. C'est au tour de David de rompre avec Rosalie. Le temps passe. Un jour, dans son atelier de dessin à Paris, David voit arriver César. Celui-ci s'inquiète : Rosalie, peu heureuse, semble bien avoir besoin de David. César conjure David de se rendre auprès d'elle. David refuse d'abord, mais César y met une telle violence qu'il part avec ce dernier rejoindre Rosalie en Vendée... où l'amitié des deux hommes s'approfondit. Mais lequel des deux Rosalie aime-t-elle vraiment ? C'est le classique trio amoureux, même si je crois que le plus courant est : un homme - deux femmes.
Un petit +, voire un gros + : Le record dela femme qui a le plus maigri au monde est détenu par une Américaine nommée Rosalie Bradford (1943-2006). Elle a perdu 409 kilogrammes à partir de son poids le plus élevé jusqu'à son poids le plus faible.
On ne saurait oublier que nous sommes le 4 septembre, date de naissance de la III° République. En souvenir de ce jour, de nombreuses rues en France portent le nom "du Quatre Septembre" !!!
Cf. Le Blog d'un Grincheux Grave - à qui je dois d'être entrée dans la blogosphère, GG est grand, qu'il en soit remercié ! - notes des 3 juillet 2008, 4 juillet 2008, 6 juillet 2008, 7 juillet 2008, 13 juillet 2008, 28 juillet 2008, 10 octobre 2008, 18 avril 2009, sauf erreur ou omission.
Il a tout dit. Après lui, tout devient superfétatoire !
La maladie de Gilles de la Tourette, aussi appelée syndrome de la Tourette, est une affection neurologique qui se traduit par les diverses manifestations suivantes, à des degrés variables : des TOC (troubles obsessionnels compulsifs) ; des tics verbaux et sonores (coprolalie et écholoalie) ; des tics moteurs (spasmes musculaires). Cette maladie est quatre fois plus courante chez les garçons que chez les filles. C'est le neuropsychiatre français Gilles de la Tourette qui en a fait la première descritpion en 1886.
J'aurais envie de dire : Gilles de la Tourette et Gilles de Binche, même combat !
La ville de Binche, en Belgique, célèbre depuis le Moyen-Âge l'arrivée du printemps. Durant trois jours, les Gilles défilent, au son des tambours et des groupes de cuivres. Ils sont bossus, leur costume étant empli de paille. Leurs chapeaux, autrefois en plumes de coq ou de marabout, sont aujourd'hui en plumes d'autruche et pèsent trois kilos. Les plumes ssont montées sur une buse, tenue par une jugulaire en cuir au menton. Des Gilles sans chapeau porte uniquement une barrette et un mouchoir de cou. Leur costume en toile de lin comporte une blouse et un pantalon, il est orné d'une vingtaine de lions héraldiques, de blasons, de couronnes et d'étoiles, en feutrine noire, jaune et rouge. Une colerette de ruban plissé blanc est portée aux épaules. Du ruban plissé blanc forme également les manchettes et les parements du pantalon. La ceinture de petites cloches, nommée l'apertintaille, pèse de deux à trois kilos. Les Gilles portent aussi sur la poitrine un grelot, dont le son diffère selon la taille. Des chaussons sans couture, de laine blanche protègent leurs pieds des sabots en bois de peuplier et garnis de cuir et de renoms (ruban plissé). Le Gille lance son ramon, constitué de branches assemblées par du rotin, au passant qu'il désire saluer, puis le récupère en l'embrassant. Les Gilles sont les prêtres du carnaval de Binche, ils ne doivent pas être reconnus, aussi portent-ils, le matin du Mardi gras, un masque de toile recouverte de cire, des lunettes, une moustache et une mouche ; à midi, lorsqu'ils sont reçus par le maire, ils les retirent, et commencent la distribution des oranges.
I'a quèques dizaines d'ans, m'feimme et mi in est dallé vir les Gilles à Binche pou l'zé moutrer à m'gadrouillette ed 6 ans, mes fieus ed 4 et 2 ans. In s'a plaché au bord d'eine tiote plache mais les gins qui arrivote, sins gêne, i s'sont mis edvant. Nos jonnes n'véyote pu rin. Alors, j'a assis un fieu su mes épaules et parel pou m'feimme. Ej m'a abassié et l'fille alle est monté su mes g'nous. Au lon arrivote les Gilles din leu grand rambuquache ed cuifes, tambour et greusse caisse. Comme les gins avote treup avinché, les gindarmes belges monté su des quévaux i l'z'ont fait arculer brutal'mint. Les quévaux anarvés i s'ardressote su leus gampes arrière et les gins pris d'frousse et paniqués arculotte viv'mint. Bousculés, m'feimme et mi in a manqué d'kéïr. M'tiote fille alle a déquindu d'mes g'nous et t'not m'main aveuc forche. Bétôt, j'n'ai pu vu qué s'tiète à mitan muchée pa les gins qui poussote gramint. J'véyos el désespoir dins ses biaus yus et alle m'épautrot l'main comme si alle dallot s'noïer ! J'avos biau crier "Attintion i'a des tiots z'infants !" Bawette, cha poussot in m'riant au nez ! M'feimme alle volot coper, arjointe el trottoir "Nan, ch'est impossipe ! Laissons nous porter pa l'courant !" qu'j'li ai crié. Ch'est chu qu'in a fait pindint 200 mètes et après bin des ruses in a arrivé dins un bout rue sins gins. Mes z'infants brayote gramint ! L'pu jonne i'avot archu eine orange su s'tiète et pris gramint d'frousse i avot accrui s'marrone! M'tiote file alle savot pu bouger ses bras et gampes telmint qu'in l'avot compressé. L'dernier i brayot pou accompagner el z'autes! Mais mes jonnes i n'ont pu voulu artourner vir les Gilles ; i z'étote dégoutés. Mes gins né m'parlez pon des Gilles ed Binche, ni d'chés gindarmes sins cervelle à qu'vaux, ni dé biète l'foule qui avot ker à pousser ! Au diape tout cha !
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