Le calendrier julien est une réforme du calendrier romain, introduite par Jules César. Il fut utilisé depuis la Rome antique jusqu'à son remplacement par le calendrier grégorien à partir du la fin du XVIe siècle. Aujourd'hui, les Berbères l'utilisent toujours, ainsi que certaines Eglises orthodoxes, russe notamment.
Pour quelqu'un qui tient un blog qui s'appelle "Ephéméride...", ce petit mot d'introduction traitant d'un calendrier était de circonstance.
Passons aux choses sérieuses. La littérature ? Julien Gracq, Julien Green ? Tiens, des noms qui ont une certaine ressemblance. Si leur nom ne m'est pas inconnu, leurs écrits me le sont en grande partie et, si je choisissais de vous parler d'eux, je ne ferais que du copier/coller.
La chanson ? Julien Clerc, Julien Doré ? Tiens, ici aussi, quelque chose de commun dans leur nom ! Mais je ne suis spécialement fan ni de l'un ni de l'autre, même si Hair est rangé dans ma boîte à souvenirs.
Mais par contre, je suis fan de Julien Boisselier, je le trouve "craquant". Alors...
Après avoir suivi l'enseignement de l'ENSATT et du cours Florent, il fait ses débuts au théâtre (dans une mise en scène de Sylvie Testud) et à la télévision. Au cinéma, son premier rôle, en 2000, est celui d'un psychiatre dans Nationale 7. A partir de là, il enchaîne les tournages.
Voyez comme il a l'air doux, le regard rêveur, l'allure décontractée ! Héros romantique du jeune cinéma, il campe les séducteurs dans Clara et moi, J'me sens pas belle, Tout le plaisir est pour moi. Un séducteur qui montre sa fragilité, quoi de mieux pour nous faire craquer, nous les femmes ? J'veux pas que tu t'en ailles, lui fait dire Bernard Jeanjan, mais qui a dit que nous voulions partir ? Rassure-toi, Julien, nous restons près de toi, même si tu nous assures : Je vais bien, ne t'en fais pas. Il revient cette semaine sur les écrans dans un nouveau registre, une coméde sur fond de vampirisme, Les Dents de la nuit. Brrr...
Ah je vois bien ça : "un séducteur qui montre sa fragilité" ça vous fait craquer, vous les femmes, hein ? La complexité féminine, qui nous déroute tant, est précisément illustrée par CARITATE qui nous disait aussi autre chose il y a trois jours : que pour elle un grand noir baraqué c'était attirant. Dur, dur pour nous les hommes d'être blanc tendre, grand noir baraqué, intello, bricolo, as du jardin, rigolo, sérieux, tout à la fois, ou plutôt en alternance selon l'humeur du moment de ces dames !
Rédigé par : Grincheux Grave | 02 août 2009 à 10:26
Oui, nous rêvons toutes au Prince charmant... mais on fait comme vous, on prend ce qu'on trouve ! Hormis un changement de couleur de peau (tiens, ça me rappelle quelqu'un !), je pense qu'il existe quelque part sur la terre un spécimen qui corresponde à tous les autres critères. Il suffit de le rencontrer et de ne pas se le faire piquer par une autre.
Rédigé par : Caritate Libertine | 02 août 2009 à 11:00
Je rajouterai une petite préférence personnelle : qu'il aime les chats, les roses, les rapaces, les ânes et... les hippocampes !
Rédigé par : Diablotine | 02 août 2009 à 12:31
Prophète Elie (Ilya Prorok)
(20 juillet selon l'ancien calendrier)
Un des plus grands des prophètes et première vierge de l’Ancien Testament. Il est né en Fesvii Gilead dans la tribu de Lévi, 900 ans avant Jésus-Christ. Quand Élie est né, son père, Sovaku a eu une vision que les hommes nobles parlaient avec un bébé, le langeaient avec le feu, et l'avaient alimenté avec les flammes de l'incendie. Dans ses premières années, il a habité dans le désert et a vécu dans le stricte héroïsme du jeûne et de la prière. Appelé pour le ministère prophétique durant le règne du roi Achab, qui adorait Baal (le soleil) et forçait le peuple juif à faire de même. Dieu a envoyé Élie à Achab, et a commandé à prédire que si lui et son peuple ne se tournaient vers le vrai Dieu, le malheur arrivera à son royaume. Achab n'a pas obéi au prophète, et une grande sécheresse et la famine se sont abattues sur le pays. Au cours d'une famine, Elie a passé un an dans le désert, où les corneilles lui apportaient la nourriture, et plus de deux ans chez une veuve de Sarepta. Après trois ans et demi, il est retourné vers le royaume d'Israël et dit au roi et au peuple que les Israéliens étaient victimes des catastrophes, car ils ont oublié le vrai Dieu, et ils ont commencé à adorer l'idole Baal. Pour prouver la fausseté des Israéliens, il a suggéré deux autels - l'un de Baal et l’autre de Dieu, et dit: «faisons le sacrifice, et si le feu vient du ciel sur l'autel de Baal, il est vrai Dieu, et si non, l'idole». Tout d'abord, ils ont fait un autel de Baal, jeté du bois, égorgé le taureau, et les prêtres de Baal ont prié son idole: «Baal, Baal, envoyez-nous le feu du ciel». Mais il n'y a pas eu de réponse, et le feu n’est pas tombé du ciel sur l'autel Baal. Le soir, Elie a fait son autel, mit de l’eau sur le bois, et pria Dieu. Soudain, le feu est tombé du ciel, et non seulement consomma le bois et la victime, mais aussi l'eau et la pierre d'autel. Lorsque les gens ont vu ce miracle, ils ont glorifié Dieu et ont cru en lui.
La vie du Saint Prophète Élie, est décrite dans l'Ancien Testament, les livres (3 Tsar. 4 Samuel., Monsieur le Président. 48, 1-15, 1 Mac. 2, 58). Au moment de la Transfiguration du Seigneur, le prophète Elie a parlé avec le Sauveur sur le Mont Thabor (Mf. 17, 3, Mc. 9, 4; Lc. 9, 30).
Et bien Caritate, sans éphéméride orthodoxe, je n'aurai pas fait le lien entre Julien et Ilya (Elie), comme l'entraînement cérébral il n'y a pas mieux.
Rédigé par : cruella | 02 août 2009 à 20:48
Je rajouterai sur la liste des "séducteurs fragiles" un certain Tom Novembre...
... et les Koalas of cause!
Rédigé par : cruella | 02 août 2009 à 20:58
CRUELLA, Tom Novembre... et les Koalas... Cela me rappelle cette blague :
Sur la porte d'un magasin, il y a ce panneau portant la mention : "Interdit aux juifs, aux noirs et aux coiffeurs"
Das passants s'arrêtent et s'exclament : "Pourquoi les coiffeurs ?"
Rédigé par : Caritate Libertine | 02 août 2009 à 22:05
Tom Novembre séducteur ? Pour avoir l'autre jour échangé quelques propos avec lui je lui ai trouvé l'air bougon et renfrogné. Julien, j'aime bien, mais je préfère Julienne, en chair ou en légumes...
Déçu ce jour par Julien Rey qui n'a guère brillé dans les arênes de Châteaurenard...
Rédigé par : Roberto | 02 août 2009 à 22:20
Aficionado ? Je craignais que plus personne n'ose affirmer son goût pour la corrida !
Rédigé par : Caritate Libertine | 02 août 2009 à 23:29
A quoi ai-je pensé pour associer Tom et les Koalas?
Non lo so!
Ou peut-être, est-ce une préférence personnelle pour cette "mimi" créature de Dieu?
Rédigé par : cruella | 03 août 2009 à 18:02