L'éphéméride de Caritate Libertine
jour après jour, mots pour maux... mes rides et mes faux saints
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27 juillet 2009
Nathalie
Nathalie - On connait la chanson - Gilbert Becaud
27 juil 2009 08:23:00
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Deux saints pour le prix d'un ! Je fais la plouf ! "A la queue leu leu Mon p'tit chat est bleu S'il est bleu tant mieux S'il est gris tant pis !" Anne, ma filleule, excuse-moi, ce sera pour...
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L'éphéméride de Caritate Libertine
anarcho-agnostique et idéaliste pessimiste... et cyclothymique
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Ce prénom me fait penser à l’héroïne du roman de Léon Tolstoî « Guerre et paix », publié entre 1865 et 1869. L'histoire se déroule entre 1805 et 1820, Napoléon conduit sa Grande Armée en Russie, mais la vie continue à Moscou.
Ce roman est considéré comme un roman majeur de la littérature aussi bien par la richesse et le réalisme de ses détails que par les descriptions psychologiques de ses personnages.
"Tolstoï y développe une théorie fataliste de l'histoire, où le libre arbitre n'aurait qu'une importance mineure et où tous les évènements n'obéiraient qu'à un déterminisme historique inéluctable".
Personnage central de Guerre et paix, Natacha est un livre ouvert, une jeune femme vivante, qui ressent et exprime toutes ses émotions. Elle n’est pas parfaite, il lui arrive de commettre des erreurs, de prendre des coups, sans pour autant baisser les bras. Entre la demoiselle de dix-huit ans à la jeunesse éclatante et la femme accomplie, se seront écoulées plusieurs années marquées par la guerre ; le départ au front de ses frères, la mort de l’un d’eux ; la perte de son premier amour, le prince André; la découverte de l’interdit avec Anatole, la déception puis la culpabilité. Elle, qui a connu l’aisance, qui s’est nourrie de l’amour des siens, réalise peu à peu que le monde qui l’entoure est différent de celui dans lequel elle a grandi. “Guerre et paix, c’est aussi l’absurdité de la guerre, ce qu’elle fait à une société, aux femmes qui attendent, aux hommes qui partent. Elle ne se réduit pas à des points stratégiques... et Natacha est le fruit de toutes ses expériences.
Adaptation russe en quatre époques par Serge Bondartchouk (1967), « Guerre et paix » est considéré comme une œuvre majeure du cinéma mondial, quant à Ludmila Savelieva dans le rôle principal, elle est tout simplement admirable.
Pour ma part et en toute modestie, je rajouterais qu’aucune autre adaptation ne vaut celle de S. Bondartchouk (j’en ai vu un certain nombre).
Un petit extrait avec Natacha bien sur:
http://www.youtube.com/watch?v=yDydWwiL630
Rédigé par : cruella | 27 juillet 2009 à 17:25