Charlotte

Non non non !

Charlotte Se Branle - Chansons De Carabins Et De Corps De Garde - Marcel Duval Et Son Orchestre

Comments

[Rédigé par : Grincheux Grave]

Pourquoi non, non, non ? C'est trop facile ! Alors il fait chaud, on se délasse, on se prélasse et et en fin de compte on se débarasse de sa mission d'information.

CHARLOTTE est un prénom princier (à Monaco) : Charlotte de Grimaldi, née Charlotte Louise Juliette Louvet à Constantine (Algérie) le 30 septembre 1898 et décédée dans le 16e arrondissement de Paris le 16 novembre 1977, est la fille naturelle de Louis II de Monaco et de Marie-Juliette Louvet, et la mère du prince Rainier III.

Il y eut confirmation et approbation de reconnaissance paternelle par ordonnance du 15 novembre 1911 du prince souverain Albert Ier, son grand-père : de façon officielle à Monaco, elle porta dès ce jour, le titre de Mademoiselle de Valentinois.

Il y a aussi, si j'ai bonne mémoire, une chanson paillarde qui évoque une CHARLOTTE, rimant avec carotte, ça rend aimable (et baisable)

Dans son boudoir la petite Charlotte, Chaude du con faute d'avoir un vit
Se masturbait avec une carotte, Et jouissait sur le bord de son lit.

Refrain :

Branle, branle, branle Charlotte, Branle, branle, ça fait du bien
Branle, branle, branle Charlotte, Branle, branle, jusqu'à demain.

Ah! disait-elle dans le siècle où nous sommes, Il faut savoir se passer des garçons,
Moi pour ma part je me fous bien des hommes, Avec ardeur je me branle le con.

Refrain

Alors sa main n'étant plus paresseuse, Allait venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse, Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort.

Refrain

Mais ô malheur, ô fatale disgrâce, Dans son bonheur elle fit un brusque saut
Du contrecoup la carotte se casse, Et dans le con il en reste un morceau.

Refrain

Un médecin praticien fort habile, Fut appelé qui lui fit bien du mal
Mais par malheur la carotte, Indocile ne put sortir du conduit vaginal.

Refrain

Mesdemoiselles que le sort de Charlotte, Puisse longtemps vous servir de leçon
Ah croyez moi laissez là la carotte, Préférez lui le vit d'un beau garçon

Refrain

Baise, Baise, Baise Charlotte, Baise, Baise, ça fait du bien
Baise, Baise, Baise Charlotte, Baise, Baise, jusqu'à demain

[Rédigé par : Grincheux Grave]

stp ENLEVE mon commentaire écrit trop vite avant même d'avoir remarqué le lecteur audio
Elle est bonne cette idée de chanson !

[Rédigé par : Grincheux Grave]

C'est dingue : je viens de vérifier qu'en réalité par moment le lecteur audio n'apparaît pas du tout, donc j'avais bien vu qu'il n'y avait rien d'autre que "non, non, non".

[Rédigé par : Caritate Libertine]

Avec ou sans le lecteur audio, ton commentaire reste de mise. D'une part il nous instruit sur la Principauté et d'autre part il nous permet de chanter, grâce aux paroles que tu nous fournis, en choeur sur cette chanson toujours aussi expressive ! Mais il est bien beau le parolier donneur de leçons, mais encore faut-il avoir un vit sous la main (!) ; cette pauvre Charlotte fait avec ce qu'elle a...

[Rédigé par : Grincheux Grave]

J'aime bien ressortir le "vit", je veux dire le mot "vit", un vieux mot. Plus personne ou presque ne sait ce que signifient "vit" et "con" au sens "propre". Madame la baronne, me permettez-vous de vous introduire le vit dans le con ? Je vous en prie, entrez donc.

[Rédigé par : Caritate Libertine]

Grincheux, je constate que le sujet du jour te fait perdre un peu de ta grinchitude au profit de la poésitude... Personnellement, je trouve ces mots très beaux et n'ai pas honte de le dire. Et je les trouve "propres" ! D'ailleurs, des écrivains célèbres ne s'y sont pas trompés :

"Le vieux mot français de VIT a son charme. Sade l’emploie, si l’on peut dire, à tour de bras. Le vit a sa vie à lui, il vibre. Il reste masculin, contrairement à ses équivalents modernes. Casanova l’appellera foudre, coursier, agent principal de l’humanité, et même, dans ses moments de grande exaltation démonstrative, Verbe. Quant au liquide qui en sort, désormais de plus en plus stocké dans les laboratoires sous le nom de sperme, il le nomme liqueur, nectar, humide radical. N’est-ce pas mieux?" (Philippe Sollers)

"C'est une impiété inepte d’avoir fait du mot CON un terme bas, une injure. Le mépris de la faiblesse ? Mais nous sommes si heureux qu’elles soient faibles. C’est non seulement le propagateur de la nature, mais le conciliateur, le vrai fond de la vie sociale pour l’homme." (Jules Michelet)

Lire (ou relire) Le Con d'Irène, de mon tant aimé Aragon !
N'ayons pas peur de dire la chose pour bien la faire !!!

[Rédigé par : Roberto]

Oh !

Pour moi Charlotte est le nom de la variété de pommes de terre cultivées dans mon potager. Ronde et grosse elle ne se prête guère à de quelconques branleries...

[Rédigé par : Caritate Libertine]

Rob, que tu es désobligeant... les rondes et grosses devraient rester sur le banc de touche ? Ce n'est pas ce que tu voulais dire ? Tu ne parlais pas de femmes mais de légumes ???
Si au péché de luxure tu préfères celui de gourmandise, alors plutôt une charlotte au chocolat, ou aux fraises ! Après des pommes de terre rissolées, ou en salade, ou cuites au four, préparations auxquelles la Charlotte se prête volontiers...

[Rédigé par : Grincheux Grave]

C'est n'importe quoi, cette discussion : ça commence avec une carotte et ça se termine avec des patates. Et au milieu ces messieurs-dames dissertent doctement du vit et du con à travers la littérature. A propos de patates, il m'est arrivé parfois de croiser dans mon quartier une certaine belle de Fontenay, portant chapeau, qui fut Miss élégance 1957, mannequin chez Balenciaga, puis rencontra Louis Poirot, alors président du comité, avec qui elle a deux fils. Vous avez bien lu : Poirot.

[Rédigé par : Caritate Libertine]

Dis donc, GG, tu as la frite, on dirait !
Avec cette profusion de légumes, vivement l'hiver qu'on se fasse une bonne soupe.

[Rédigé par : MF8]

Charlotte, bien sûr, c'est cette chanson enregistrée par ma joyeuse bande des Ardents quand nous avons quitté le grenier de mes parents (la bar des Ardents) pour migrer vers Champéroux plus tranquille pour des amours adolescentes encore clandestines (avant 68) et des nuits de fête sans sommeil, et la bande son est encore très audible ! On entend pouffer les jeunes ardentes...
Mais c'est aussi le nom d'un joli lavoir au pied du château et que l'on appelait le creux de Charlotte, allez savoir pourquoi.