RÉ MI, mon petit concerto en sol mineur.
FA. Saint Rémi est, avec Martin de Tours, Denis de Paris, Jeanne d’Arc et Thérèse de Lisieux, l’un des cinq saints catholiques de France (2 femmes pour 3 hommes, presque la parité). Évêque de Reims à 22 ans (!), c’est pour avoir organiser un baptême collectif, celui de Clovis Ier, premier roi mérovingien chrétien de France, avec 3000 guerriers et nobles qu’il est considéré comme le convertisseur officiel par baptême de la France au christianisme. Il fonda les sièges épiscopaux de Thérouanne, Laon et Arras (chef-lieu du Pas-de-Calais, dit la chanson). Après plusieurs transferts de ses reliques, le pape Léon IX les fit rapatrier à la basilique de Reims. Qu’il y repose en paix !
SOL. Vous n’avez pas lu Sans famille, d’Hector Malot ? Cette histoire raconte l’initiation à la vie d’un enfant trouvé, Rémi, élevé à la campagne par une paysanne au grand cœur, puis vendu. Son maître, Vitalis, ancien chanteur d’opéra, est devenu saltimbanque et montreur d’animaux (un singe, trois chiens savants). Ils parcourent la France ; Vitalis en prison, Rémi s’occupe seul de la troupe ; puis la mort les sépare. Après un bref repos dans un nouveau foyer, c’est à nouveau l’errance, les expériences dramatiques, les rencontres dangereuses. Enfin il part à la recherche de ses vrais parents. Les retrouvera-t-il ? Rémi-sans-famille
LA. Rémy Julienne, le « casse-cou du cinéma français, a débuté sa carrière de cascadeur dans le film Fantômas, recruté par Gil Delamare, responsable des effets spéciaux, puis a participé à plus de 1 400 films en France et à l’international. En 1986 en Italie, son spectacle, le Motor Show, reçoit 1 600 000 spectateurs en moins de dix jours de représentation. La télévision a fait souvent appel à lui pour des spots publicitaires. Sur le tournage de Taxi 2, un accident survient, provoquant le décès du cameraman Alain Dutartre. Rémy Julienne, responsable des cascades, est jugé et condamé à 18 mois de prison avec sursis et 13 000 euros d’amende. À quand son retour ?
SI. Depuis la fin du XVIIe siècle, les Martin sont une famille de vignerons charentais. La Maison Rémy Martin, fondée en 1724, mondialement connue, reste fidèle à ses origines, à son sol et à ses traditions. Vous pouvez en faire la visite virtuelle sur http://visitesremymartin.com/ mais – dommage pour vous – vous ne palperez pas la part des anges. Le summum de sa gamme de Cognac Fine Champagne est un produit d’une telle perfection qu'il a été baptisé L'Âge d'Or de Rémy Martin. La précieuse carafe en cristal qui le contient a été créée poour mettre en valeur toute sa luminosité et sa couleur d'ambre doré. Bonne dégustation, mais n'oubliez pas que l'abus d'acool...
DO. Saint-Rémy de-Provence, dans les Alpilles, est bâtie sur un site archéologique : vestiges du Comptoir de Glanum, les grands Thermes, l’Arc de triomphe, le Mausolée des Antiques, de la cité gallo-romaine. Flânez dans les ruelles de la vieille ville à la découverte des musées, galeries d’art, couvents, chapelles, somptueuses résidences, hôtels particuliers des XVIIe et XVIIIe siècles (et même du XVe, tel l’hôtel Sade). Les Alpilles lui servent d’écrin, et ainsi défilent sous nos yeux plus de 150 tableaux peints par Van Gogh, les champs de blé et de coquelicots, les oliviers et les cyprès… Aujourd’hui, les terrasses ombragées du cours accueillent artistes et célébrités du show-biz. Personne ne vous empêche de vous joindre à eux si le cœur vous en dit.
« J'arrivais au Divan (en mai 1891), descendant d'un fiacre découvert qui m'apportait du Moulin Rouge toute habillée, toute maquillée. Quelques fidèles du Moulin suivaient mon fiacre, pour venir au Divan m'écouter dans un tout autre répertoire, car au Moulin, entre huit et neuf, c'était une clientèle de petits commis du quartier, et je n'osais pas risquer ces mêmes couplets que j'offrais à la clientèle artiste des peintres, sculpteurs, écrivains qui se réunissaient chez Jehan Sarrazin. Pour fêter ma venue, Sarrazin faisait deux soirées : une, de huit à dix, avec ses artistes ; une autre, de dix à douze, soirée d'Yvette. Imaginez une petite salle de café de province, basse de plafond, et pouvant contenir, en les tassant, cent cinquante à deux cents personnes. On y chantait. Une estrade plantée au fond de la salle à 1,50 mètre du sol, ce qui m'obligeait à faire attention de ne point lever les bras sans besoin absolu, car alors mes mains se cognaient au plafond, ce plafond où la chaleur de "la rampe" à gaz montait si forte qu'elle nous mettait la tête dans une fournaise suffocante ! Les chanteurs n'y séjournant que cinq à dix minutes s'en tiraient, mais moi, c'était cinquante à soixante minutes qu'il me fallait endurer ce supplice, lequel, terminé, m'obligeait "à me sécher" une demi-heure, avant d'oser affronter l'air froid de la rue, collée que j'étais, dans ma robe, les cheveux ruisselants de sueur » (Y. Guilbert, la Chanson de ma vie).
« Je ne suis pas une femme d’intérieur, je ne sais pas cuisiner, je ne sais pas faire le ménage. Je suis une nullité… Un jour j’ai dit à maman, j’avais sept ans, je veux devenir religieuse... Quand maman m’a demandé d’apprendre l’accordéon, j’ai mis trois ans à regretter, à pleurer mon piano. Et puis un jour je me suis dit : à l’accordéon, on peut faire de belles choses aussi… Si je joue un morceau populaire, ce ne sera pas vulgaire, je le jouerai comme un morceau classique… Comme une élève, je fais ma toilette des doigts tous les jours avec des exercices… Au bout de dix jours de vacances, dix jours sans musique, je ne me sens pas équilibrée… J’ai fait onze fois le tour de France… C’est Jean-Paul Gaultier qui m’a appelée. C’est un homme charmant. Il m’a fait des robes somptueuses qui, en plus, me permettaient de jouer de mon instrument sans difficulté... Je suis comme Descartes, j’ai des doutes… Je me demande toujours si je vais faire l’affaire, si je serai à la hauteur… Si je dois passer un concours, je sais que je le remporterai. Mais je ne le dis pas, ça passerait pour de la prétention, et c’est pas mon genre. Je n’ai pas du tout la grosse tête… Il faut que ce soit correct, brillant et, si possible, joué à la perfection. C’est ça le petit pincement quand vous entrez sur scène... La musique et l’amour. Surtout l’amour. C’est la chose la plus importante dans la vie… J’ai beaucoup de respect pour les gens. Je suis honnête. Et ils le sentent bien… J’aime pas les bla-bla… Si c’était à refaire, je reprendrai la même vie. J’ai de grands, de beaux souvenirs avec des musiciens importants. Non, je ne changerai rien… Si j’avais eu des enfants, j’aurais été malheureuse de ne pas avoir le temps de les voir… On vivrait deux vies qu'on apprendrait toujours… Continuer à faire de la musique… » (Y. Horner, extraits d'interviews).
Tatiana, Tatiana Samoïlova. Qui se souvient ? Ah, ce nom vous dit quelque chose ? L’actrice qui jouait le rôle de Véronika dans ce film sublimissime réalisé par Mikhaïl Kalatozov en 1957, palme d’or au festival de Cannes en 1958 « pour son humanisme, pour son unité et sa haute qualité artistique ». J’ai nommé Quand passent les cigognes. Véronika (Tatiana Samolova) et Boris (Alekseï Batalov) s’aiment, la guerre éclate, Boris part pour le front. Sans nouvelles de son fiancé, elle épouse Mark, qu’elle finira par quitter. Elle accueille un petit garçon abandonné, nommé lui aussi Boris. Inconsolable en apprenant la mort de son bien-aimé, elle convertit son désespoir en distribuant sur le quai de la gare les fleurs du bouquet qu’elle avait apporté pour Boris. L’actrice Tatiana réussit à faire passer la complexité de ses sentiments tragiques : amour, trahison, désespoir, altruisme. En écrivant ces quelques mots, certaines scènes du film défilent devant mes yeux et, si je n’étais pas une vieille dame indigne, mes yeux s’embueraient comme lorsque je le vis pour la première fois ; j’étais alors en pleine adolescence, à l’âge où l’on s’identifie facilement aux personnages romanesques, et j’avais pleuré toutes les larmes de mon corps.
Mais autres temps, autres mœurs. Cinquante ans plus tard, Tatiana évoquerait plutôt un personnage quir ressemblerait à celui d’Elena dans le film Je vous trouve très beau, d’Isabelle Mergault. Une femme de l’Europe de l’Est qui, pour sortir de sa condition pour le moins difficile, n’aurait qu’un but : séduire un Occidental et l’épouser. Que celle qui n’a pas souhaité séduire un Occidental et l’épouser lève le doigt ! Mais on lui pardonne difficilement de venir marcher sur nos plates-bandes. Elles osent tout, les bougresses. Par exemple, le 8 décembre 2008, une Tatyana n’a pas hésité à écrire à notre Grincheux grincheux-tatyana rien qu’à nous blogueuses, en intitulant sa lettre « Je la femme cherche l’homme* ». Quel culot ! Il faut qu’on se serre les coudes, vous savez, elles sont jeunes, très jeunes, elles sont blondes (ce n’est forcément une qualité, oui c’est vrai), elles leur promettent la vie en rose et roucoulent avec un bel accent ! Moi ce que j’en dis, c’est pour vous, méfiez-vous ; mon temps à moi est passé depuis des lustres ! Alors… n’empêche, qu’elles restent chez elles et ne viennent pas nous narguer avec leur physique de mannequin !
Saint-Paulin, Saint-Nectaire, même combat ? Que nenni ! Le Saint-Paulin n’est pas un fromage AOC, lui ! Comment, vous ignorez ce qu’est une Appellation d’origine contrôlée (appellation française) ! Ne peuvent entrer dans cette catégorie que les fromages répondant à un cahier des charges précis : provenir d’une aire de production délimitée ; répondre à des conditions de production précises ; posséder une notoriété dûment établie ; faire l’objet d’une procédure d’agrément de reconnaissance par l’Institut national des appellations d’origine (INAO) puis en AOP par l’Union européenne. Bleu des Causses, Camembert, Cantal, Chavignol, Comté, Époisses, Fourme d’Ambert, Maroilles, Ossau-Iraty, Picodon, Reblochon, Roquefort, Saint-Nectaire, pour n’en citer que quelques-uns, pour la France. Cheddar, Edam, Feta, Gorgonzola, Gouda, Manchego, Mozzarella, Parmigiano, Pecorino, Provolone, Ricotta…, pour l’Union européenne. J’ai même découvert le fromage de Herve (en Belgique) ; oui c’est possible ! Si vous voulez la liste complète, Wikipédia est là. Ces fromages sont fabriqués selon un savoir-faire transmis de génération en génération, préservant ainsi un patrimoine gastronomique et culturel. Moi, ce que j’aime, c’est les manger, AOC ou pas ! Tant pis pour le cholestérol. Et choisir le vin qui les met le mieux en valeur, qui fait éclater en bouche toutes leurs saveurs, avec lequel le mariage est si réussi qu’ils fêteront ensemble leurs noces d’or ! Quand je pense qu’il existe des esprits tordus pour trouver que nos fromages puent, des esprits chagrins pour dire qu’ils ne sont pas fiables sur le plan sanitaire, et qui refusent de les importer ! Ils ne savent vraiment pas apprécier les bonnes choses, ces barbares !
Vous n'aimez pas le fromage ? Qu'à cela ne tienne. Il est d'autres plaisirs dans la vie. Tenez, lisez ou relisez Pauline Réage, Histoire d’O, suivi de Retour à Roissy, un des plus grands livres érotiques (érotique, j’ai dit, pas porno) que je connaisse. Jean Paulhan en avait écrit la préface : "Du bonheur dans l’esclavage"… Tout un programme ! « … and besides I’m fond of rites and habits », cette phrase prononcée par Sir Stephen est restée gravée dans ma tête depuis sa lecture. Et pourtant, je m'appelle Caritate Libertas. Cherchez l'erreur... Dieu que l’âme humaine est complexe ! Mais les rites se retrouvent ailleurs que dans l'amour, n'est-ce pas ?
Il était une fois, au siècle dernier, un tout jeune homme, grand, beau, intelligent. Il s’appelait Serge Rabot. Il avait coutume de traîner ses guêtres dans l’atelier de son père, issu d’une longue lignée de menuisiers. Son grand-oncle, un certain Gepetto, avait, disait-on, créé un personnage en bois, un pantin, qui s’était animé. Mais ce ne pouvait qu’être une légende, bien sûr. La menuiserie convenait à son tempérament taciturne. Il aimait l’odeur chaude du bois, il savait en reconnaître les différentes essences ; plonger ses mains dans la sciure lui procurait un plaisir sensuel, pour ne pas dire sexuel. Mais il se sentait seul, pas de frère avec qui partager ses doutes d’adolescent ; une sœur, oui, mais on ne peut guère se confier à une fille ! Il allait, le soir, boire une chope de bière au café du village, où il retrouvait quelques copains, qui lui racontaient des blagues un peu salaces. Sa vie n’était pas trépidante, son avenir professionnel était tout tracé : pourquoi chercher à faire autre chose que poursuivre la tradition familiale ? Le 14 juillet, au bal du village où il se rend chaque année, quoique mauvais danseur, il remarque, assise à quelques tables de la sienne, une jeune fille réservée, petite brunette piquante dans sa robe de bal bleu ciel, Françoise Varlope. Il la dévore tellement des yeux que la donzelle se sent bientôt envahie d’une douce chaleur, elle lève les yeux, leurs regards se croisent… Elle rougit, ses mains se mettent à trembler, son cœur bat la chamade. Que lui arrive-t-il ? Elle ne connaît pas cet émoi qui envahit tout son être. Serait-ce l’amour ? Si seulement il voulait bien s’approcher, l’inviter à danser. Elle n’a plus qu’une idée en tête, qu’il l’enlace, qu’il la fasse tourbillonner au rythme de la musique qui rivalise avec les battements de son cœur. Lui ne fait pas un geste, indécis, il voudrait mais il n’ose. Pourtant, ils sont irrésistiblement attirés l’un vers l’autre. Alors elle, comprenant qu’il ne tentera pas de l’approcher, se lève, fait quelques pas vers lui et, timidement, lui demande : vous voulez bien danser avec moi ? Il ne peut refuser, tout étonné de cette hardiesse. Leurs corps se frôlent, leurs mains s’enlacent, ils savent tous deux que, dans quelques minutes, avant même la fin de cette première danse, leurs lèvres échangeront leur premier baiser. Je vous fais grâce de la suite des événements, vous devinez aisément ce qui se passe ensuite entre le grand Rabot et la petite Varlope, elle était vierge, rapidement elle ne le fut plus. Je pourrais bien sûr vous décrire leurs ébats torrides, ça vous plairait, hein ? Non non non, je ne mange pas de ce pain-là, et je laisse ce soin à des blogueuses qui affectionnent les propos triviaux. Sachez qu’à partir de ce jour-là, elle n’est plus qu’attente, attente du moment où il viendra la rejoindre, attente de la pâmoison dans ses bras, attente de ses cris d’amour. Les premiers mois, elle seule compte pour lui, il ne met même plus les pieds dans la menuiserie paternelle, il préfère enfouir ses mains dans ses cheveux plutôt que dans la sciure, il préfère humer tous les replis de son corps. Les mois passent, il se lasse, il vient la voir de moins en moins souvent, il a fait d’autres rencontres. Elle continue à l’attendre, jusqu’au jour où elle se rend compte que son corps prend des formes nouvelles… elle est enceinte. Damned ! C’est la honte dans ce petit village, je vous rappelle que l’histoire se passe au siècle dernier ! L'en informer ? Certes pas, il n'en aurait cure. Alors elle fuit, elle accouchera n’importe où, elle s’en moque, et pourquoi pas dans une étable, d'autres l'ont fait avant elle ? Lorsqu’elle mit au monde son enfant, un garçon, elle l’appela Guillaume. Il ne devint pas menuisier, mais ébéniste - bon sang ne saurait mentir ! A la mort de Rabot, qui n'avait appris que très tardivement de l'existence de son fils Guillaume, fruit de son amour avec Varlope, personne ne reprit l’affaire et la menuiserie fut rasée. Aujourd’hui, il y a un Mc’Do à la place.
En 1948, Jacques Martin crée Alix, personnage de bande dessinée, qui paraît dans le Journal de Tintin, et est publiée chez Casterman. Le héros est un jeune homme d’origine gauloise, qui devient le fils adoptif d’un riche romain, Honorus Galla. C’est un ami de Jules César. Les intrigues de la série se déroulent à l’époque de Jules César à Rome, en Gaule, en Mésopotamie, en Afrique et en Asie mineure. Alix se caractérise par un courage exemplaire, digne d’un personnage de la tragédie classique !
On ne serait pas surpris de l’entendre prononcer ces paroles du Cid (acte I, scène 4) :
Ô rage !ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ,
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
… ou même cette anaphore célèbre prononcée par Camille (puisqu'Alix est un prénom tantôt masculin, tantôt féminin) dans Horace (acte IV, scène 6) :
Rome, l’unique objet de mon ressentiment !
Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant !
Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore !
Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore !
Comme c’est bon ce retour sur les bancs du lycée, non ? Bon, trêve de plaisanteries. Si vous n’aimez ni la BD ni les auteurs classiques, si vous n’avez pas envie de courir les soldes pour cause de frimas ou de carte bleue en berne, vous pouvez rester au coin du feu et lire Alix Girod de l’Ain, journaliste à Elle, alias docteur AGA, qui, de sa plume aigre-douce, vous entraîne dans une peinture suave du couple, de la famille, des femmes, de la mode… Elle ne craint pas d’écrire, dans Sainte Futile : « Dieu existe. Et il ressemble à Karl Lagerfeld », celui-là même qui, une fois morte, la renvoie sur terre pour « devenir meilleure, plus profonde, plus généreuse, plus ouverte à l'Autre » ! Ou allez au cinéma ; mais je vous préviens, si vous allez voir De l’autre côté du lit, son premier roman, à l’affiche depuis deux jours, vous vous ennnuyerez un tantinet malgré la présence, dans les rôles principaux, de Dany Boon et de Sophie Marceau (couple Boon-Boum). Allez Alix, on vous pardonne cette légèreté pour avoir donné votre accord à Le Meur pour publier dans son blog votre article « Tu blogues ! » (Elle, 2004). Comment, vous ne connaissez pas Loïc Le Meur ? Pour de bon ? Mais qu’est-ce que vous faites ici ?
anarcho-agnostique et idéaliste pessimiste... et cyclothymique
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