Vous avez sans doute déjà connu le problème, vous lancez une application informatique (logiciel) et, pour une raison inconnue, votre machine ne peut effectuer la commande et se met à tourner en rond : boucle informatique ou, plus techniquement, "redondance cyclique". Vous allez certainement comprendre ces termes en examinant cet exemple simple de boucle informatique, termes qui définissent un enchevêtrement, une confusion de données, créées inexplicablement par l'ordinateur :
Un directeur de société appelle sa secrétaire et lui dit : - Vanessa, j'ai un séminaire à Rome pendant une semaine et je veux que vous m'accompagniez. Vous connaitrez ainsi mieux notre société et nos associés... Veuillez préparer le voyage, s’il vous plaît. Vanessa, la secrétaire, appelle son mari et lui dit : - Philippe mon chéri, je pars pendant une semaine à Rome avec mon directeur pour un séminaire. Tu resteras seul, mon chéri, sois patient ! Aussitôt Philippe, le mari de Vanessa, appelle sa maitresse et lui dit : - Florence, mon trésor, la sorcière part à l'étranger pendant une semaine. Nous aurons une semaine tout à nous, ma reine... La maitresse Florence appelle aussitôt l'élève auquel elle donne des cours particuliers et lui dit : - Manuel, j'ai beaucoup trop de travail la semaine prochaine, je ne pourrai pas assurer tes cours particuliers. Ne viens pas en cours. Manuel appelle son grand-père et lui dit : - Grand-père, la semaine prochaine je n'ai pas cours. Mon professeur Florence a beaucoup de travail. Cela tombe bien, on va enfin pouvoir passer une semaine ensemble. Le grand-père (qui n'est autre que le directeur de cette histoire) rappelle sa secrétaire Vanessa et lui dit : - Vanessa, suspendez la préparation du voyage à Rome, je vais passer la semaine prochaine en compagnie de mon petit-fils que je n'ai pas vu depuis bien longtemps. Nous n'irons pas au séminaire. Annulez toutes les réservations, hôtel, avion, etc. La secrétaire rappelle son mari et lui dit : - Philippe, ce clown de directeur a changé d'avis, il vient d'annuler le voyage. Rome, c'est fichu. Le mari rappelle aussitôt sa maitresse, Florence, et lui dit : - Mon amour, excuse-moi, nous ne passerons pas la semaine prochaine ensemble. Le voyage de ma "conne" de femme a été annulé ! Le professeur appelle aussitôt son élève Manuel et lui dit : - Manuel, écoute bien, j'ai pu arranger mon emploi du temps. La semaine prochaine je pourrai assurer tes cours particuliers habituels. Le garçon rappelle son grand-père (le directeur de société) et lui dit : - Grand père, cette "lourdasse" de professeur vient de me dire que la semaine prochaine, elle pourra me dispenser ses cours particuliers ! Excuse-moi, je ne pourrai pas passer la semaine prochaine en ta compagnie. Le grand-père (directeur) rappelle sa secrétaire et lui dit : - Mon petit-fils Manuel vient de me dire qu'il ne pourra pas être avec moi la semaine prochaine : il reprend ses cours. Reprenez la préparation du voyage, les réservations pour le séminaire à Rome. Nous y allons.
Maintenant, vous avez compris ce qu'est une "redondance cyclique" ou "boucle informatique" !
Qu'es-tu devenue, toi que j'aimais, qui fut pimpante et pétillante, bouche de fraise et nez coquin ? Qu'est-ce que tu fous sous ton cyprès ? Qu'es-tu devenue ? Oh je sais, Tu es devenue azote 12% acide phosphorique 17% sels de phosphate 31% âme zéro
(Pierre Desproges, Vivons heureux en attendant la mort)
Il me suffit parfois d'une musique, d'une vidéo, d'une information... pour que me revienne envie d'écrire une note. Aujourd'hui, une photo prise aux Lecques m'évoque l'attachement et le détachement.
Je me reconnais totalement incapable de développer la théorie de l'attachement, laissant ce soin aux psychologues dont c'est le métier, alors que le mien est de distraire ! La notion d'attachement me remémore un flm d'Almodovar, cinéaste que j'apprécie particulièrement pour la pertinence de ses films et pour l'amour qu'il a pour les femmes, ¡Átame! Un bref synopsis si vous ne l'avez pas vu : une actrice porno, cherchant à se reconvertir dans le cinéma traditionnel, couche un soir avec un jeune homme qu'elle ne connaît pas. Celui-ci, au sortir d'un séjour en HP, souhaite vivre avec elle, et décide de la séquestrer... La suite ? Imaginez, ou téléchargez le film ! Attachée avec des liens de soie, avec des menottes de plumes, pourquoi pas ? Cela peut être excitant. Mais attachée avec des fers, à l'instar d'O, ou, pire encore, avec des obligations ou des addictions, voilà ce qui paraît inconcevable, et pourtant, comment s'en défaire ?
Il me plaît de citer Montaigne qui affirme que "la vieillesse nous attache plus de rides en l'esprit qu'au visage". Si un jour je le rencontre, celui-là, je l'embrasse ! Brave homme qui me réconcilie avec les ans !
Il convient de parvenir à se détacher. Le détachement est l'état idéal dans lequel nous devrions vivre pour ne pas subir les assauts que la vie nous réserve. Plus facile à dire qu'à faire ! Etre stoïque ? Bof ! Etre sceptique ? Bof ! Prendre du recul ? Je préfère ! Réfléchir et rechercher des solutions - s'il n'y a pas de solutions, c'est qu'il n'y a pas de problèmes ! - afin de réussir à se détacher, sur le plan du mental comme sur le plan des émotions, de ce qui nous pertube, nous tracasse, nous encombre, et nous englue dans nos propres contradictions.
"L'humour suppose une forte dose de détachement et de liberté;" Je ne connais pas l'auteur de cette citation mais j'y adhère totalement. Heureux ceux qui ont la chance de croiser sur leur route quelqu'un avec qui échanger avec humour, et qui les aide dans leur ascension vers le détachement et la liberté !
C'est un homme d'affaires qui fait la rencontre d'une très belle femme. Après quelques heures, ils conviennent de passer la nuit ensemble moyennant un montant de 500 euros que Monsieur versera à Madame. Au petit matin, l'homme d'affaires dit à la très belle femme qu'il n'a pas d'argent sur lui mais que sa secrétaire lui enverra un chèque de 500 euros pour motif de "location de logement". Sur le chemin du retour, l'homme d'affaires regrette et estime que cela ne valait finalement pas autant. Lorsqu'il arrive à son bureau, il demande donc à sa secrétaire d'envoyer un chèque de 250 euros à la dame avec le message suivant :
Madame, Veuillez trouver ci-joint un chèque de 250 euros pour la location de votre appartement. Je n'ai pas envoyé le montant convenu parce qu'en louant votre logement je croyais qu'il n'avait jamais été occupé, qu'il était beaucoup plus chaud et qu'il était assez petit pour m'y sentir chez moi. Malheureusement, j'ai découvert qu'il avait déjà été souvent occupé, qu'il était difficile à chauffer et qu'il était trop grand."
Sur réception de cette note, la dame lui renvoya le chèque avec le message suivant :
Cher Monsieur, Comment avez-vous pu penser qu'un si bel appartement ait pu rester vacant jusqu'à votre arrivée ? En ce qui concerne le chauffage, il n'en manque pas, il vous suffisait donc de l'allumer. Enfin, pour ce qui est de l'espace loué, je vous assure qu'il n'est pas plus grand qu'ailleurs : ne blâmez donc pas la propriétaire si vous n'avez pas assez de mobilier pour le remplir convenablement.
* Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.
Depuis pas mal de temps, je tergiverse : arrêter ou ne pas arrêter ce blog ? Tous les blogueurs se posent un jour ou l'autre la question.
Grâce à un ami (j'ai dit : "grâce" et non pas : "à cause", il ne m'a pas dit :"ton blog t'aliène" !), je viens de comprendre à quel point tenir un blog est aliénant : - Le blogueur passe chaque jour pas mal de temps pour écrire quelques lignes, partager une idée, s'interroger sur un sujet ou un autre... Ce temps-là ne serait-il pas mieux employé à "vivre" en dehors de la toile, à rencontrer des gens en chair et en os, qui écoutent et qui parlent ? - Même s'il s'en défend, ou à moins d'être d'un détachement extrême, le blogueur est sans cesse dans l'attente de commentaires ; sans lecteurs, sans commentateurs, il a le sentiment d'écrire dans le vide. Il s'ensuit rapidement une frustration ! Et ce d'autant plus qu'au bout de quelques mois, il s'est habitué à avoir son petit cercle de fidèles, ou qu'il croit tels, et sa déception est d'autant plus grande de ne pas les retrouver régulièrement à la suite de ses notes. Eh oui !
A moins d'être maso, ou d'être "LE" blogueur incontournable sans qui la blogosphère ne serait pas ce qu'elle est, je ne vois pas la nécessité de persévérer sur un chemin qui s'avère de plus en plus étroit, qui m'entortille chaque jour un peu plus dans ses entrelacs, me piégeant à l'insu de mon plein gré. Il sera facile à certains de me taxer d'être trop sensible au regard des autres, probablement. Mais comment ne pas tenir compte des autres dans la blogosphère comme sur notre sphère terrestre ?
C'est décidé, je veux me libérer de ce qui est pourtant aussi un plaisir ! Rien que d'écrire cette note, je me sens déjà plus légère ! Et puis, mes amis resteront mes amis ; du moins je l'espère !
Cependant, je confesse être suffisamment lâche pour ne pas fermer ce blog totalement, mais de le mettre en mode "économique" ! Je me garde ainsi la possibilité de vous faire partager, si le coeur m'en dit, une vidéo, une photo, un article, un chat, une envie soudaine...
Et qui dit que je ne reviendrai pas un jour dans ce monde de brutes, ici ou ailleurs ?
* Copie d'une article paru dans Elle Québec, tombé sous mes yeux par hasard via internet.
Après le Slow Food, voici le Slow Sex. À pratiquer sans hâte mais avec beaucoup de discernement.
« Quelle est la durée moyenne d'une relation sexuelle ?» « Combien d'orgasmes puis-je avoir en une nuit ? » « Les préliminaires, ça doit durer combien de temps ? »... se demandent plusieurs personnes sur Internet, dans les courriers de lecteurs ou les émissions de télé dédiées à la sexualité. C'est dans l'air du temps. On parle chiffres et performances quand on aborde la sexualité, laquelle est évaluée, mesurée, quantifiée... comme les autres activités de notre vie. Il faut manger vite, travailler plus, s'amuser efficacement.
« Écoutez les conversations masculines, il n'y est question que du nombre de femmes, du nombre de fois, du nombre de positions. Toujours des nombres », explique Alberto Vitale dans Éloge de la lenteur, de Carl Honoré. Celui qui a fondé le mouvement Slow Sex, en 2002, poursuit : « Vous allez au lit avec une liste d'étapes à franchir. Vous êtes trop impatient, trop centré sur vous-même pour véritablement apprécier le sexe. » Pour cet Italien originaire de Bra – qui est aussi la ville natale du fondateur du Slow Food –, la solution est simple: il faut ralentir ! Et prôner la « décélération érotique » pour sauver les rapports amoureux de « la frénésie insensée de notre monde fou et vulgaire ».
Entrée ou dessert? Mais que signifie la notion de lenteur dans le domaine sexuel ? « Il faudrait peut-être se demander d'abord ce que veut dire l'indicateur temps en la matière », interroge Doha Khan, conférencier et thérapeute, qui anime au Québec des ateliers sur l'art d'aimer, inspirés de la pratique tantrique. « Y a-t-il vraiment un début, un milieu et une fin à l'acte sexuel ? À partir de quel moment précis, de quel geste, considère-t-on qu'on commence et qu'on termine ?
Michel Lemay, sexologue à Montréal, abonde dans le même sens. Il estime qu'il serait temps de revoir les quatre phases de l'acte sexuel, telles que les sexologues américains Masters et Johnson les ont établies dans les années 60: préliminaires, plateau (maintien de l'excitation pendant un certain temps), orgasme, résolution (retour au calme). Ces étapes sont en effet devenues la norme de notre activité sexuelle. « Mais qui nous oblige à les suivre ?, se demande Michel Lemay. Et si je n'ai pas envie de préliminaires, mais juste d'un orgasme, ou le contraire, quelle importance ? Lorsque je suis à table et que je me contente d'une entrée ou d'un dessert, qui peut affirmer que je n'ai pas eu un repas complet ? Si ça me satisfait, c'est tout ce qui compte, non ? »
Carl Honoré, auteur du best-seller Éloge de la lenteur, constate que notre culture de la vitesse nous conditionne à privilégier la destination au voyage, et que le sexe pâtit de cette même mentalité axée sur le résultat. Autrement dit, l'important, dans l'acte sexuel, serait son « efficacité », qui se mesurerait par l'orgasme. Pour suivre la cadence, l'industrie pharmaceutique a même inventé le viagra, afin de rendre les hommes performants en tout temps et à tout âge. Concernant les femmes, l'obligation de jouissance est la même, mais la science peine à leur offrir des solutions chimiques. En plus, la nature ne nous a pas gâtées côté vitesse. Car comme le rappelle Carl Honoré, il faut en moyenne 20 minutes aux femmes pour atteindre leur pic d'excitation, tandis que les hommes y parviennent en moins de 10.
Réconcilier cœur et sexe « Je n'aime pas l'expression Slow Sex, explique Michel Lemay, car elle peut être mal comprise. Est-ce qu'elle signifie qu'il faut prendre plus de temps pour performer ou plus de temps pour établir une meilleure relation dans les rapports sexuels ? » Bonne question. « L'essentiel n'est pas, techniquement, de faire l'amour plus lentement ou pas, précise le sexologue, c'est de prendre son temps pour réfléchir à son désir. Une relation d'une nuit peut être belle, intense et intime, à partir du moment où les deux l'ont réellement désirée et où il y a une véritable interaction entre les partenaires. »
Pour Carl Honoré, « rien ne met plus en lumière ce besoin d'une sexualité plus douce que l'intérêt mondial du public pour le tantrisme. [...] Chaque jour, 12 000 internautes naviguent dans le blizzard des sites pornographiques avant de tomber sur tantra.com, écrit-il. Loin d'être intimidés par la montagne de ridicule amoncelée sur la tête de Sting, des couples de tous âges s'inscrivent désormais nombreux à des ateliers de sexualité tantrique ».
La philosophie tantrique, inventée en Inde il y a plus de 5000 ans, repose sur la prise de conscience de notre unité fondamentale, d'une union entre le corps, l'esprit et l'univers. « Le sexe tantrique, dans sa forme la plus pure, n'est pas seulement une pratique sexuelle lente, il en canalise l'énergie pour aboutir à une parfaite union spirituelle avec son partenaire mais aussi avec l'univers lui-même. » Inspiré par cette philosophie, Doha Khan propose des ateliers où les participants apprennent à «réconcilier le sexe, le cœur et la spiritualité, à restaurer et à assumer [leur] potentiel orgasmique loin de toute performance, à apprendre à toucher et à être touchée». Le tantrisme, dit-il, « c'est remettre le sacré dans la sexualité. Ce n'est pas une technique sexuelle, mais un cheminement vers l'autre ».
Lors de son voyage dans le monde de la lenteur, le journaliste canadien Carl Honoré a tenté l'expérience. Non sans crainte : « le jargon New Age, les chakras, les vidéos de présentation animés par des hommes arborant une queue-de-cheval : tout cela me paraissait très ringard », écrit-il à ce propos. Il reconnaît pourtant que l'expérience a été des plus enrichissantes. « Quoi que l'on pense du New Age, il peut ouvrir la porte à une meilleure sexualité ainsi qu'à une intimité et une conscience de soi plus profondes. » Le tantrisme est pourtant parfois mal compris, voire déformé, mais Carl Honoré fait remarquer que : « Même si c'est le cas, qu'est-ce que ça change ? [...] Après tout, lorsque vous débarrassez le tantrisme de son bagage spirituel, vous conservez les rudiments d'une sexualité épanouie: tendresse, commmunication, respect, variété et durée. »
Tout le propos du Slow Sex, en somme... et de plusieurs médias, qui se sont emparés de la tendance pour conseiller de « prendre un bain, mettre des bougies dans la chambre, une musique douce, pratiquer de longs préliminaires... » Des conseils qui agacent Michel Lemay : « S'ils sont vides de sens pour vous, cela ne sert à rien. Les bougies ne vont pas m'aider à regarder vraiment l'autre et à découvrir son corps. Et si je préfère la musique rock aux douces mélodies ? Encore une fois, il faut savoir ce qu'on désire vraiment et le faire, tout simplement. » Le sexologue estime donc très facultatif l'emploi du vaporisateur de ylang-ylang, mais il n'en est pas de même avec la technique sexuelle, qu'il faut savoir maîtriser. Fidèle à ses métaphores culinaires, il souligne que «pour bien manger, il faut savoir faire la cuisine ». Là encore, point n'est besoin de rester des heures aux fourneaux. « Mais faire appel à tous ses sens est primordial, ajoute-t-il, car nous vivons dans une société qui focalise la sexualité sur les organes génitaux, d'une part, et sur la vue, d'autre part. »
À l'énoncé « Les rapports sexuels sont plus beaux grâce à... » de l'étude internationale Durex 2007, les internautes ont répondu majoritairement : « davantage de romantisme, de tendresse et d'amour ». C'est peut-être tout simplement cela, le Slow Sex. Un peu de douceur et d'amour.
Question posée par Julien LEPERS en personne lors de la finale des masters de platine réunissant tous les plus grands champions du jeu télévisé.
Top 30 secondes.
JE SUIS une chose très utile qui mesure en général dans les quinze centimètres. En temps normal, je suis là, inerte, attendant l'action. On trouve à l'une de mes extrémités un buisson de poils que je porte avec arrogance. Lorsqu'on m'utilise, c'est en m'introduisant promptement, et souvent vigoureusement. Mais il y a les adeptes d'utilisation rapide, comme ceux d'utilisation lente : tout dépend du tempérament et de la condition physique. Cependant, la méthode d'emploi est toujours la même : des va-et-vient répétés dans une cavité chaude et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée. Lorsque j'ai finalement terminé mon office, je laisse dans la cavité humide une substance blanche, moussante, collante et parfois un peu sucrée. On retrouvera également cette sécrétion sur moi même et dans mes poils. Il faudra me nettoyer pour que je sois à nouveau propre en attendant mon prochain emploi. Une fois de retour à l'état de repos, j'attends sagement ma prochaine utilisation. On pourrait m'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes soutiennent.
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