Le samedi 14 mars 2009, en début d'après-midi, je me trouvais dans ma chambre d'hôtel à Paris, où je m'étais rendue pour le salon du Livre.
On annonça à la radio la mort d'Alain Bashung.
Je n'ai pas honte de dire que j'ai pleuré, pleuré, pleuré... sa mort, et d'autres choses encore (les raisons de pleurer étant plus nombreuses que les raisons de rire)...
Un an plus tard (à un jour près), mourait Jean Ferrat.
Je préfère le titre de cette chanson aux dernières paroles de la précédente.
Encore un an plus tard j'imagine que tu t'apprêtes à retourner au Salon du Livre... et tu vois ce que ça déclenche au Japon ?
Rédigé par : Grincheux Grave | 14 mars 2011 à 00:16
Jusque-là, je me contentais de déclencher des tsunamis dans le coeur des hommes !!!
Rédigé par : Caritate | 14 mars 2011 à 12:07