L'éphéméride de Caritate Libertine
jour après jour, mots pour maux... mes rides et mes faux saints
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31 mars 2011
Bar à chats - Mars
31 mar 2011 06:11:00
NOTE PLUS ANCIENNE
Envie d'un homme, envie d'une femme
Au lit, l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement. Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit : - Non, mon amour, je ne le sens pas bien... Puis elle ajouta : - Je...
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L'éphéméride de Caritate Libertine
anarcho-agnostique et idéaliste pessimiste... et cyclothymique
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Croquenote80:
une découverte qui commence on ne peut mieux! J...
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Adieu chats, chattes, chatons, minets...
kkk:
Oui, je sais, je suis pas en avance, mais je vo...
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Libertine ? Mais non !
Ŧαβαωαяε:
youre welcome ! égaré est le bon terme je cher...
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Adieu chats, chattes, chatons, minets...
Un grand moment de la chanson française des années 20, interprété par Berthe Sylva, le tango du chat:
Y avait une fois sur une toiture
Un matou de fort belle allure
Qui aimait d' façon délicate
Une chatte, une chatte,
Le soir, pendant des heures entières
Assis sur le bord d' la gouttière
En passant sa patte sur son museau
Il la guettait, amoroso,
Et quand elle passait près de lui
Tout doucement, dans la nuit
Il faisait miaou
Tendrement miaou
Et les chats du voisinage
En écoutant ce langage
Se disaient "Y a que'qu' chose là-d'ssous !"
Mais un beau soir, quelle infortune !
Avec un autre, au clair de lune
Le chat aperçut son ingrate
Petite chatte, petite chatte,
Le lendemain, plein de tristesse
Comme il lui disait "Tu m' délaisses"
Elle répondit d'un air effronté
"J'ai bien d'autres chats à fouetter"
Sortant ses griffes aussitôt,
Tout en faisant le gros dos
Il faisait miaou
Rageusement miaou
Et les chats du voisinage
En écoutant ce langage
Se disaient "Y a que'qu' chose là-d'ssous !"
Le chat bouda près d'une semaine
Puis s'en revint le cœur en peine
Faire ses excuses les plus plates
A sa chatte, à sa chatte
Mais comme il cherchait la cruelle
Il apprit, horrible nouvelle,
Qu'un cuisinier hélas l'avait fait
Cuire un beau soir, comme civet,
Apprenant ce coup fatal
Le chat crut se trouver mal
Il faisait miaou
Tristement miaou
Et les chats du voisinage
En écoutant ce langage
Se disaient "Y a que'qu' chose là-d'ssous !"
Il faisait miaou maramia miaou
Oh ! La drôle de musique
Que font lorsqu'ils communiquent
Tous les minets et les matous
Rédigé par : Le Nain | 31 mars 2011 à 15:23
Un chat assis : incarnation de l'empire de soi.
Rédigé par : JeanBalthazar | 01 avril 2011 à 20:11
Bah...Chat alors!
http://ditchlakwak.unblog.fr/2011/04/01/ces-fumeurs-qui-font-de-la-resistance/
Rédigé par : Ditch | 01 avril 2011 à 21:53
Voici une version du maneki neko japonais :
Au Japon, durant la période d'edo, au 17e siècle, vivait un prêtre très pauvre qui était le gardien d'un temple en périphérie de Tokyo. Ce prêtre, bon et généreux, partageait sa maigre nourriture avec son compagnon, un chat nommé tama. Un jour, particulièrement froid et pluvieux, le prêtre voulut se préparer un thé pour se réchauffer, mais il tomba dans un profond désespoir lorsqu'il s'aperçut qu'il n'avait même plus de thé. Accablé de douleur, le prêtre se mit à pleurer et demanda a son chat, en désespoir de cause, s'il pouvait l'aider lui et le temple, avant de s'endormir d'épuisement. Son chat, plutôt perplexe, partit s'asseoir près de la porte d'entrée du temple, et se mit à se nettoyer, comme le font les chats, en se léchant et en passant ses pattes contre sa tête. Un homme très riche, perdu dans les tourments de la tempête, cherchait à se protéger sous un arbre, lorsqu'il aperçut le chat devant la porte du temple, qui en se nettoyant en passant sa patte sur le côté de sa figure, semblait l'inviter à venir s'abriter. Intrigué par ce signe de bienvenue, et peut-être du destin, l'homme alla se mettre à l'abri dans le temple. Quelques instants plus tard, la foudre frappa l'arbre ou était l'homme, et celui-ci explosa sous l'impact. L'homme riche considéra que le chat lui avait sauvé la vie et, voyant les conditions de vie du prêtre et l'état du temple, décida d'utiliser son argent et son influence pour restaurer le temple et améliorer la vie de ceux qui y vivaient. Ainsi, grâce au chat, le temple japonais fut sauvé et le vieux prêtre vécut heureux et comblé. A la mort du chat, on lui édifia une statue qui le représentait la patte levée en souvenir de ce jour. Les gens de la région, considérant que ce chat avait apporté richesse et bonne fortune à son propriétaire, commencèrent à placer des figurines de chat avec la patte levé dans leurs maisons et leurs magasins.
Ainsi commença l'histoire et le développement du maneki neko au travers du Japon.
Rédigé par : Caritate | 01 avril 2011 à 22:25