Le ministre du Travail est à nouveau mis à l’index. Libération prétend qu’il serait intervenu dans la succession du sculpteur César.
Le résultat ? Un dégrèvement fiscal de 27 millions d’euros. En 2000, 230 œuvres de César, sculpteur marseillais décédé en 1998, n’auraient pas été déclarées dans la succession, nombre ramené deux ans plus tard à 38. Eric Woerth serait intervenu et aurait effacé l’ardoise fiscale après des « pourparlers avec l’exécuteur testamentaire du sculpteur », président de la fondation Cartier pour l’art contemporain.
Déjà soupçonné dans l’affaire Bettencourt, Eric Woerth est à nouveau mis sur la sellette ! Voilà de quoi ternir les vacances de ce colosse aux pieds d'argile...
Apparemment il y a une erreur sur le doigt... ce n'est pas celui-là que les affairistes de droite qui nous gouvernent nous tendent !
Rédigé par : porcoleader | 04 août 2010 à 20:21
Ces affaires font écho à ce que le mari de carla est en passe de devenir : naboléon ou napoleon le petit, celui de ce second empire où les mondes de l'argent et de la politique dansaient sur nos aimables contributions, main dans la main.
Rédigé par : JeanBalthazar | 05 août 2010 à 09:05
Selon les dernières informations, Eric Woerth se défend d'avoir donné un coup de pouce à la famille César.
Rédigé par : Caritate | 05 août 2010 à 18:08
Encore pris les doigts dans le pot de confiture !...
Rédigé par : Dominique | 07 août 2010 à 12:08