Un peu d’anatomie. Le pénis est constitué de deux corps caverneux et d’un corps spongieux dont le bout élargi constitue le gland. Le gland est recouvert du prépuce, retenu par le frein. Ce pli de la peau est d’une grande utilité puisqu’il aide à l’insertion du pénis durant le coït, qu’il maintient le gland humide, lui permettant de glisser aisément là où il est inséré ! Lors de l’érection, le pénis durcit et s’allonge et le prépuce se rétracte, découvrant le gland, qui est la zone érogène la plus importante.
En Papouasie-Nouvelle-Guinée et dans certaines régions d’Océanie, il est coutume de porter un étui pénien, entourant le pénis et pouvant atteindre un mètre de long. Cet étui pénien peut être fabriqué avec des gourdes retenues à la taille par une ficelle, ou en fibres végétales, liane tressée ou coloquinte séchée.
Ces contenants sont particulièrement chargés de sens, même si plusieurs interprétations en sont données. Pour certains, il a pour but d’attirer le regard sur le sexe masculin en lui donnant du volume. D’autres pensent que l’étui pénien représente une vulve symbolique associée à un coït permanent.
L’étui pénien, s’il est utilisé chez les Occidentaux en cas d’incontinence urinaire, l’est aussi à d’autres fins. C’est ainsi que dans certaines boutiques, vous pouvez trouver des étuis péniens avec cockring (anneau à la base, pour les bourses !), des étuis péniens avec picots, des étuis péniens intégraux enserrant la verge et les testicules ; le nec plus ultra étant des étuis péniens vibrants équipés d’une télécommande !
Quelle lectrice de ce blog proposera de me jouer un air de vuvuzela avec le contenu de mon étui pénien ?
En retour, je lui promets de lui sucer la friandise,
lui caresser le gardon, lui empeser la chemise,
lui picorer le bonbon,
lui frotter la péninsule,
lui béliner le joyau,
lui remplir le vestibule,
lui ramoner l'abricot,
lui farcir la mottelette,
lui couvrir le rigondin
lui faire gonfler la mouflette,
lui laminer l'écrevisse,
lui choyer le cœur fendu,
lui tailler la pelisse,
lui planter le mont velu,
lui briquer le casse noisette,
lui savourer la sucette,
lui faire reluire le berlingot,
lui gauler la mignardise,
lui rafraîchir le tison,
lui faire grossir la cerise,
lui nourrir le hérisson,
lui chevaucher la chosette,
lui chatouiller le bijou,
lui bricoler la cliquette,
lui gâter le matou !
Rédigé par : Grincheux Grave | 19 juin 2010 à 10:59
GG, je ne pense pas que Colette Renard lise ce blog ! Elle est bien trop occupée la nuit, et le jour elle baise, tout simplement. Une autre lectrice serait peut-être intéressée, à condition qu'elle ne suive pas le lien vers ton blog, elle pourrait se sauver en courant en voyant ta photo ! Mais ne présageons de rien, tous les goûts sont dans la nature.
Rédigé par : Caritate | 19 juin 2010 à 11:23
La tentation d'une belle femme peut causer ta perte GG...
Priez, mesdames, afin de ne pas entrer en tentation!
Rédigé par : cruella | 19 juin 2010 à 15:27
Je pense que GG souffre de la même maladie que la plupart des Hommes.
Rédigé par : Helene | 19 juin 2010 à 16:58
GG, les candidates commencent à affluer, attirées par tes promesses comme les abeilles par le nectar du plus succulent pistil !
Rédigé par : Caritate | 19 juin 2010 à 17:10
Caritate: à vous l'honneur! Moi, j'ai appris une chose en tant qu'ami un homme est super, en tant qu'amant (ou petit ami)il est à consommer avec modération (voire beaucoup de modération). L'homme et la femme ne souffrent pas de la même maladie forcément.
Bonne soirée
Rédigé par : Helene | 19 juin 2010 à 20:53
Je reconnais bien là le mal féminin : jacasser, jacasser. Et aucune ne prend l'initiative, les choses en main.
Rédigé par : Grincheux Grave | 20 juin 2010 à 12:56
Les choses en main ? Les femmes jacasseraient moins si elles avaient la bouche pleine.
Rédigé par : Caritate | 20 juin 2010 à 13:00
@GG: les femmes jacassent moins que les hommes!
@Caritate: vous êtes impayable!
Rédigé par : Helene | 20 juin 2010 à 13:09
Le mal féminin...mdr!
Le mal masculin serait la difficulté de résister à la tentation de pénétrer dans l'espace intérieur d'un être...
Rédigé par : cruella | 20 juin 2010 à 14:58
... quel(s) qu'il(s) soi(en)t !
Rédigé par : Caritate | 20 juin 2010 à 16:42