Je vous préviens, cette vidéo finit mal, âmes sensibles s'abstenir ; un espèce de clown pitoyable entre en scène, il est connu, paraît-il, c'est vrai que son nom me rappelle quelqu'un !
!
Marthe Mercadier, depuis plus de trente ans, fait partie de la scène parisienne. D'abord souffleuse au théâtre, elle fait de la figuration dans quelques films. Mais elle aime surtout les planches : Le Don d'Adèle, La Poule aux oeufs d'or, Treize à table, Les Enfants d'Edouard... jusqu'à Folles de son corps, Clémentine, Tout bascule. Son public l'apprécie dans ces pièces comiques. Au cinéma, elle comptabilise une centaine de films, ainsi qu'à la télévision ; les "vieux" ont encore en mémoire la série Les Saintes Chéries à la fin des années 1960.
"J’aime jouer les pièces longtemps, ça me donne l’illusion de faire des progrès", dit cette artiste au grand cœur qui a reçu la médaille du Mérite par Simone Weil mais aussi le prix de la Solidarité par les Nations unies pour son engagement humanitaire depuis vingt ans.
L'an dernier, c’est elle qui a présidé le jury de la douzième édition du Festival d’humour et de café-théâtre de Rocquencourt (vous savez bien, le triangle dont ne cesse de nous parler Bison futé...)
Peut-être auriez-vous préféré que je vous parle de sainte Marthe, la soeur de Marie-Madeleine et de Lazare ?
Mais moi, quand j'entends : sainte Marthe, je pense à un quartier de Marseille, dans le 14e arrondissement, et en particulier à sa gare.
Et puis, c'est là qu'est né, le 9 juillet 1909, Paul Ricard ! Un tel centenaire, ça se fête, même si on lui préfère le Casa...
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