Pour fêter tous les Robert(s), Bob, Bobby, Ober, Obéron, Robby, Roberta, Roberte, Robin, Robine, Roparz, sans oublier bien sûr les Roberto, voici les paroles d'une chanson écrite par Joël Daydé en 1981, et qui va plaire à certains de mes lecteurs, j'en suis convaincue.
L'histoire des petits roberts
Pas ceux qui sont rangés
En rang d'oignons chez les libraires
Les deux roberts de mon histoire
Ont besoin d'un soutien…
…Gorge, qui pourrait bien être
Le creux de mes mains
J'aime les petits roberts en l'air
Que l'on devine sous la soie
Les petits roberts qui sont tout fier
De se trouver tout contre moi
Tous les Jacques, les Paul, les Pierre
Peuvent bien aller se rhabiller
Moi c'est les petits roberts
Que j'aime voir se déshabiller
Robert, robert,
Tu me damnes, tu me damnes
Robert, robert,
Que Dieu me damne, j'te suivrais en enfer
Quand je me promène sur les plages
Quand je les vois en liberté
Les petits roberts qui sont en cage
Tout le restant de l'année
Je me dis que c'est bien dommage
Qu'les petits roberts soient prisonniers
Ils sont tous blancs comme des fromages
Blancs toute l'année, bronzés l'été
Robert, robert,
Tu me damnes, tu me damnes
Robert, robert,
Que Dieu me damne, j'te suivrais en enfer
J'aime les roberts en forme de poire
Et les roberts en rang d'oignons
Les petits roberts qui sautent en l'air
Et que l'on touche le téton
Mais les roberts cache-misere
que l'on bourre avec du coton
Me laissent froid comme une glacière
Et tout gelé comme un glaçon
Robert, robert,
Tu me damnes, tu me damnes
Beaucoup plus sérieux : Robert Bresson, Les Dames du bois de Boulogne, avec Maria Casarès, une vidéo que je dédie à une personne qui se reconnaîtra, je l'espère. Et c'est mon jour de bonté... une seconde, Jean Ferrat chantant Robert Desnos.
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