Monsieur et Madame Titgoutte ont deux filles. Comment s'appellent-elles ? Corinne et Justine.
Je vous laisse bien entendu le loisir de lire (ou relire) Justine, du marquis de Sade. Ou juste contempler de bien jolies images !
Justine ou les Malheurs de la vertu, édition originale de 1791, ornée d’un frontispice allégorique de Chéry représentant la Vertu entre la Luxure et l’Irréligion. Le nom de l’auteur ne figure pas sur la page de titre et le nom de l’éditeur (Girouard à Paris) est remplacé par la rubrique : En Hollande, chez les Libraires associés.
"L’amour est-il un mal dont on puisse guérir ?"
Rejetant la douce nature rousseauiste, Sade dévoile le mal qui est en nous et dans la vie. La vertueuse Justine fait la confidence de ses malheurs et demeure jusque dans les plus scabreux détails l'incarnation de la vertu. Apologie du crime, de la liberté des corps comme des esprits, de la cruauté "extrême sensibilité des organes connue seulement des êtres délicats", l'oeuvre du marquis de Sade étonne ou scandalise. C'est aussi une oeuvre d'une poésie délirante et pleine d'hmour noir. [Evène]
"Il n'est aucune sorte de sensation qui soit plus vive que celle de la douleur ; ses impressions sont sûres, elles ne trompent point comme celles du plaisir."
Vous m'excuserez, j'ai un train à prendre, pas le temps de faire mieux ! Bonne lecture !
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