Une série de vidéos aujourd'hui... Du gai au triste, du rire aux larmes...
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Qui c'est celui-là ? Gogole, au secours ! Ouf ! Anthelme était le prénom de Brillat-Savarin, voilà qui me met l'eau à la bouche... Je vous en prie, ne soyez pas farouches...
Brillat-Savarin, aîné d'une famille nombreuse, nacquit dans le Bugey où il prit goût à la cuisine, grâce à sa mère, cordon bleu accompli. Après des études de droit, un peu de médecine et de chimie, il devient avocat et est élu député du Tiers Etat à l'Assemblée constituante ; royaliste, il se déclare contre l'abolition de la peine de mort. Contraint à l'exil, en Suisse, en Hollande, aux Etats-Unis, il y découvre des plats aux saveurs différentes. De retour en France, il est nommé conseiller à la Cour de cassation et continue à s'intéresser à la gastronomie ; il apprécie les bons restaurants, reçoit ses nombreux amis et cuisine pour eux quelques spécialités. Un livre allait le rendre céléèbre : Physiologie du goût ou méditations de gastronomie transcendante, ouvrage théorique, historique et à l'ordre du jour, dédié aux gastronomes parisiens par un professeur, membre de plusieurs sociétés littéraires et savantes. Rien que ça !
Le critique littéraire Roland Barthes lui rend ainsi hommage : « Le livre de Brillat-Savarin est de bout en bout le livre du "proprement humain", car c’est le désir qui distingue l’homme. » Le nom de Brillat-Savarin fut donné à de nombreux apprêts et à une garniture faite de foie gras et de truffes. A un fromage, triple crème, aussi, un délice, doux au palais, fondant dans la bouche...
Voilà qui me rappelle une de ces citations, dont il était friand : "La table est le seul endroit où l'on ne s'ennuie jamais pendant la première heure." Le seul ? A débattre !
Un petit mot de Prosper Mérimée ? Une dictée, par exemple ? LA dictée ?
Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l’amphitryon, fut un vrai guêpier. Quelles que soient, et quelque exiguës qu'aient pu paraître, à côté de la somme due, les arrhes qu'étaient censés avoir données à maint et maint fusilier la douairière et le marguillier... il était infâme d'en vouloir pour cela à ces fusiliers jumeaux et mal bâtis, et de leur infliger une raclée, alors qu'ils ne songeaient qu'à prendre des rafraîchissements avec leurs coreligionnaires. Quoi qu'il en soit, c'est bien à tort que la douairière, par un contresens exorbitant, s'est laissé entraîner à prendre un râteau et qu'elle s'est crue obligée de frapper l'exigeant marguillier sur son omoplate vieillie. Deux alvéoles furent brisés ; une dysenterie se déclara suivie d'une phtisie. — Par saint Martin, quelle hémorragie ! s'écria ce bélître. À cet événement, saisissant son goupillon, ridicule excédent de bagage, il la poursuivit dans l'église tout entière.
Pour fêter le solstice d’été, voici quelques réflexions sur saint Jean le Baptiste.
Jean le Baptiste et les Esséniens
Fils d'Élisabeth, femme réputée stérile, et du prêtre Zacharie, sa naissance fut annoncée par l'ange Gabriel. Jean, d'origine sacerdotale, porte ce prénom alors qu'il était inusité chez ses ancêtres et qui signifie Dieu fait grâce.
Adolescent, il se rend dans le désert où il rencontre probablement des Esséniens qui vont fortement l'influencer. S'il fut novice essénien, il devint ensuite dissident.
Les communautés d'Esséniens vivaient en marge du judaïsme officiel, c'étaient des moines vivant en communauté ou dispersés en petits groupes étroitement unis. Libres, s'entr'aidant, détachés des biens matériels, partageant leurs biens, consacrés au sacerdoce, ils étaient les serviteurs de Dieu. Ils vivaient dans le respect de leurs rites :
– entrée du postulant soumise à un vote ;
– baptême d'eau pure marquant l'entrée au noviciat ;
– port d'habits blancs ;
– repas en commun de caractère sacré ;
– assemblées secrètes.
Cela constitue l'essentiel de leurs rites en analogie avec ce que la franc-maçonnerie a pu en retenir : l'entrée du postulant, le baptême initiatique, le port de l'habit, le repas à caractère sacré et les assemblées secrètes. Mais cette notion n'est pas une exclusive des francs-maçons. Elle est commune à certaines églises ainsi qu'à certaines sectes. Une grande différente certes, c'est la liberté permanente qui leur est offerte de quitter l'assemblée sans jugement ni opprobe ; la reconnaissance de la fraternité reste acquise dans toutes les circonstances. Une autre similitude avec les Esséniens et la tradition de Jean le Baptiste est que la hiérarchie n'y a pas de caractère permanent, elle est une charge et non un titre.
Les Esséniens pratiquaient la communion par le partage du pain qui deviendra plus tard eucharistique. Cettre communion partagée à l'identique procède de la même intention de : être avec, partager l’esprit.
Ils étaient astreints en permanence à un travail intellectuel, étudiant l'histoire de leur communauté afin de tirer l'enseignement des écritures. Le souci permanent des francs-maçons de puiser dans leurs rites et dans leur histoire les enseignements de l’évolution procède aussi de la même intention, les textes sont le support de la réflexion sans en revêtir le caractère sacré.
Leurs prières demandaient à Dieu d'être épargnés lors du baptême du feu que subirait le monde. Cela sépare un peu la franc-maçonnerie de l'esprit essénien ; en effet, l'appréciation de la rémission divine est affaire de conscience et de liberté individuelles, même si les textes maçonniques ont en filigrane cette tendance, ils n'en ont pas le caractère dogmatique.
Le baptême
L'essentiel des actes effectués par Jean était le baptême par immersion ; cela peut sembler anodin, il a par contre une importance capitale pour être le baptême des prosélytes païens entrant dans le judaïsme :
– le baptême provoquant une renaissance (métanoia) encore plus qu'une purification ;
– la préparation au baptême du feu, qui réduira l'univers en cendres.
Jean Baptiste était prophète, il prêchait la conversion en vue de l'avènement du royaume messianique.
« Un plus grand que lui viendra qui baptisera dans l'esprit saint (pour les justes) et le feu (pour les méchants). »
Le baptême de Jean est un baptême de conversion, disant au peuple de croire en celui qui viendrait après lui, c'est-à-dire en Jésus.
Il réclame aux convertis de croire, le moyen qu'il leur donne, c'est l'ascétisme ; son but, c'est de se préparer au jugement dernier par la pénitence et la prière, afin de traverser l'Apocalypse et d'atteindre Dieu.
Avant le baptême, Jean avait reconnu en Jésus un Maître incomparable, celui qui recevra, puis donnera le baptême dans l'Esprit.
Au-delà de l'esprit manichéen du noir et du blanc, Jean présuppose la venue de ce qui peut être la continuité da la pensée essénienne, il en présuppose les limites et il annonce un porteur de l'Esprit qui ira plus loin que le manichéisme et qui sera Amour.
La franc-maçonnerie peut se retrouver dans le symbole de la Lune et du Soleil, du précurseur et du messie, du Baptiste au Christ. La lune brillant d'une lumière qui n'existe pas encore.
Jean est l'annonciateur de la Lumière victorieuse, lors du combat au terme duquel Dieu devait remporter la guerre des Fils de la Lumière contre les Fils des Ténèbres. Jean appelle Jésus agneau de Dieu, non pas victime pascale, mais roi apocalyptique. Chez les Esséniens, l'agneau est le triomphateur du ciel et l'image du messie glorieux. Ce passage de l'état de victime, c'est-à-dire celui qui va subir, à l'état de roi, c'est-à-dire celui qui va dominer le combat et le transcender dans l'esprit, est bien la grande séparation d'avec l'esprit judaïque ; il est proche de l'esprit maçonnique.
Le caractère de combat dans le désert entre royaume de Dieu et royaume de Satan, disant qu'on ne peut résister aux puissances du mal qu'avec l'aide de Dieu, n’affronter Satan que dans la certitude de rencontrer Dieu, animer ce combat dans un corps affamé plus apte à recevoir les nourritures divines, adresser des prières de caractère eschatologique et apocalyptique, serait là l'ensemble des caractères de l'enseignement de Jean le Baptiste s'adressant à l'hérésie protestante, aux intégrismes religieux ou bien encore à ce qui en a été le prolongement...
La mort de Jean, décapité par Hérode Antipas pour plaire à Salomé, marque la fin de l'Ancien Testament et l'ouverture des temps messianiques. La politique l'emporte sur le spirituel. Jean fut un serviteur souffrant comme le sera le messie qu'il était chargé d'annoncer. Il laisse des disciples qui allaient contribuer fortement à ébranler le judaïsme et à favoriser la naissance et l'épanouissement de l'Église chrétienne.
Cette décapitation revêt un caractère symbolique, Jean n'aurait pas pu mourir de vieillesse dans un lit, serein, sa fin n'aurait pas été digne de sa vocation, le décollement de la tête nous enseigne la spiritualité transcendée par le principe féminin, celui de l'intuition de l'avenir, illustré par Salomé, femme et principe.
Jean est bien une borne de l'esprit maçonnique, il sépare de l'anecdote de l'Ancien Testament pour positionner les francs-maçons dans un esprit chrétien débarrassé de son église. À ce titre, la franc-maçonnerie peut y retrouver ses marques.
Jean le Baptiste, qui fonde sa vie sur le devenir, est le porteur de l'Espérance.
Quelle femme ! Quelle actrice !
Je prendrais bien des vacances romaines, sur une Vespa 125 cc Cambio Flessibile conduite par un beau chevalier !
Comme elle était belle, cette Audrey ! Je me suis souvent demandé si la beauté rendait une femme heureuse, avec une forte présomption pour le "oui", et j'ai toujours envié les femmes belles ou du moins que je jugeais telles. J'aurais aimé l'être, je crois que cela aurait changé ma vie, m'aurait donné une assurance, une façon de traverser la vie avec plus d'aisance. Je me leurre, probablement. Il suffit souvent de se croire belle aux yeux de l'être aimé. Plus facile, dites-vous ? Croyez-le !
Mon père était musicien. Aucun instrument ne lui résistait, à vent, à cordes, à percussion... Aucune musique ne lui était étrangère, classique, moderne, jazz, variété... Malheureusement, je ne dispose d'aucun enregistrement, les années ont passé et seule ma mémoire me permet de l'entendre dans les différents morceaux quu'il interprétait et qui ont bercé mon enfance.
Il m'est aisé de me projeter dans un jardin public, au pied d'un kiosque, et d'écouter l'orchestre philharmonique dans lequel il était violon solo, et qui se produisait chaque dimanche d'été de mon enfance, pour le plus grand bonheur des promeneurs mélomanes. Ces kiosques ont presque tous disparu. De temps en temps, au centre d'une ville, sur la place, un kiosque trône encore, majestueux, symbole d'un art de vivre qui depuis longtemps s'est fait balayer par la technologie. Charpentier, Grieg, Dvorak, Mendelssohn, Sibelius... l'air reste imprégné de vos oeuvres.
Les dimanches hivernaux étaient consacré au bal, c'est là que ma mère l'avait aperçu pour la première fois. En ces temps reculés, les jeunes filles allaient au bal, le dimanche après-midi, chaperonnées par une jeune tante, une cousine plus âgée... Pour danser, bien sûr, mais aussi dans l'espoir d'y rencontrer celui qui ferait battre leur coeur. Valse, tango, polka, mazurka, charleston, rumba, java, qui les connaît encore ?
Le samedi soir était consacré au jazz : clarinette, trompette, saxo, cornet... Bien sûr, j'étais trop jeune pour aller l'écouter jouer le soir, mais toute la semaine j'avais le privilège de l'entendre répéter. Louis Amstrong, Miles Davis, Dizzy Gillespie, Sydney Bechet..., pour ne citer que les plus connus, semblaient habiter un temps chez moi.
J'ai gardé de cette enfance baignée de sons harmonieux un amour pour la musique, pour toutes les musiques, mais je déplore de ne jouer d'aucun instrument, je ne sais même pas chanter ! La voix est pourtant le plus bel instrument dont on puisse jouer, un instrument à part entière, qui sollicite toutes les ressources du corps : les cordes vocales, le système respiratoire, la cage thoracique, le diaphragme, les muscles posturaux... Et l'imaginaire, l'interprétation, l'émotion...
Fête de la musique ET fête des pères. C'est beaucoup pour un dimanche. Il doit bien y avoir aussi un saint Machin aujourd'hui ? Je fais l'impasse...
Cette semaine, l'actualité nous a alertés sur le déni de grossesse, déni peu souvent évoqué, connu dans le monde médical mais pas reconnu juridiquement. Les femmes qui en souffrent ne sont pas des demeurées, elles peuvent déjà être mères, elles ne se rendent absolument pas compte qu'elles sont enceintes, au point que leur corps ne subit aucune des transformations caractéristiques de l'état de gestation. Nous connaissions chez les hommes, depuis la nuit des temps, le déni de paternité, mais ça, c'est un autre phénomène ; et on les comprend : un père est toujours putatif ! Pourtant, des hommes sont aussi capables de revendiquer des paternités pour le moins surprenantes. Ainsi ce patient qui va consulter un médecin pour douleurs dans le bas-ventre. Le médecin l'examine et s'aperçoit avec étonnement qu'il a une couille en bois et l'autre en métal. Compatissant, il lui assomme ce diagnostic : "Vous ne pourrez jamais être père." C'est alors que le patient lui rétorque : "Détrompez-vous, j'ai déjà deux enfants, Pinocchio et Robocop !"
Vivement ce soir, qu'on fasse la fête ! N'oubliez pas de me retrouver pour la paëlla et le concert de Popenstok au Tennis Park la Valentine à Marseille. A partir de 20 heures ! Et ne faites pas comme le Grincheux la semaine dernière qui s'interrogeait : Jiwa-t-y ? Jiwa-t-y pas ?
Silvère vient du latin silva, forêt.
Le 20 juin, nous célébrons les Gobain, Séverin, Séverina, Séverine, Sylvère, Sylvère, Sylvester...
Saint Silvère (+537) fut un pape exilé pour s'être opposé à l'impératrice Théodora et aux monophysites qui ne reconnaissaient au Christ qu'une seule nature..
Franchement, ce prénom ne m'inspire pas du tout. Je n'ai aucune envie de parler de Sylvester Stallone !
Tout ce que je retiens du 20 juin, c'est que le printemps se termine pour faire place à l'été. Au jardin, c'est le moment de bouturer les phlox (je mangeais les fleurs quand j'étais petite, étourdie par leur parfum) ; de tailler les haies à feullage persistant ; de cueillir régulièrement les framboises dès qu'elles sont mûres, mais non, framboises, ne confondons pas (je ne m'en prive pas, j'adore les unes comme les autres).
Dicton du jour : "Saint Sylvère froid et pluvieux annonce un été grincheux." C'est grave ! Enfin, un Silver que je trouve digne de figurer ici. C'est promis, à mon prochain déplacement parisien, je passerai une soirée dans une boîte de jazz.
Mon intention première n'était pas de vous parler de Romuald de Ravenne, dit saint Romuald (951-1027), moine ermite, fondateur de l'ordre des Camaldules, le dernier des pères du désert. Bien que n'en ayant jamais entendu parlé jusqu'à présent, ni de l'ordre des Camaldules d'ailleurs (branche autonome de l'ordre de saint Benoît), je vous livre ces quelques informations pour la seule et unique raison qu'il est un saint thaumaturege, invoqué contre les troubles psychiques. Cela pourrait en aider quelques-uns, non ?
Romuald m'évoque plutôt le film de Coline Serreau, Romuald et Juliette, que la télé ne se prive pas de nous diffuser chaque fois qu'elle en a l'occasion. Ne me dites pas que vous ne l'avez jamais vu ! Allez, je vous raconte : lui est PDG d'une entreprise de produits laitiers, elle est femme de ménage (antillaise) de la même entreprise et mère de nombreux enfants. Un jour ils se rencontrent, s'aiment et continuent de faire beaucoup d'enfants.
Comment ne pas s'émouvoir de cette union entre deux êtres que tout, a priori, séparait : la couleur de peau, le statut social... ?
C'est un concentré de bons sentiments, de leçons de vie... Surtout changez de chaîne si vous tombez malencontreusement dessus. Certains ont voulu rapprocher ce film de Pretty Woman, mais Firmine Richard n'est pas Julia Roberts...
Les saints défilent tout au long de cet éphéméride commencé aux premiers jours de l'hiver. Et l'été arrive, plus que deux jours, et la fête de la musique va battre son plein. Je vous donne rendez-vous pour une super teuf au Tennis Park la Valentine à Marseille (pour les Méridionaux bien sûr) : entrée + paëlla + boissons à donf + concert Popenstok (pop-rock), dès 20 heures jusqu'au bout de la nuit ! Il ne vous en coûtera que 30 euros. Venez nombreux, je vous y attends !!!
Le prénom Léonce à une orgine latine : Leonis, formé à partir de leo qui signifie lion. Il symblolisait la force et le courage au temps des premiers chrétiens (comme Blandine dans la fosse aux lions ?). On honore aujourd'hui un martyr du IVe sicèle, qui fut décapité pour avoir prêché l'évangile. On fête aussi aujourd'hui les Léo, Lionel, Léon, Lenny et dérivés (comme les huiles, goudrons et dérivés).
dimanche 14.06.2009, 04:45 - La Voix du Nord
Il faudra patienter jusqu'au 18 juin pour pouvoir déguster la « Léonce d'Armentières ». La nouvelle bière des ateliers Malécot ne pouvait choisir meilleure date pour se découvrir et c'est donc finalement le jour de la Saint-Léonce qu'elle sera mise en vente, pour la première fois, à l'office de tourisme. Dans le coffret qui sera commercialisé jeudi, trois bouteilles de 75 cl : une blonde, une brune et une blanche qui devraient faire un tabac à quelques jours de la fête des Pères.
Léo, un prénom porté par des personnalités : Léo Ferré, Léo Malet, Léo Lagrange, Léo Scheer, Léo Delibes, Léotaud, Léotard et surtout Léo Campion, chansonnier, caricaturiste, franc-maçon, anarchiste ; on lui doit des mots tous plus drôles les uns que les autres ; au hasard : "En fait de masturbation, tant qu'on ne peut pas compter sur autrui, il faut compter sur ses doigts."
Lionel ? Deux sont bien connus : Jospin et Richie... Faut-il en déduire que les Lionel sont frisés ?
Léon de Bruxelles, restaurant-brasserie moules-frites : à quoi ça sert les frites si t'as pas les moules (chanson connue) !
Lenny : comment ne pas penser à Lennie Small : "doux colosse innocent aux mains dévastatrices", "un homme énorme, à visage informe, avec de grands yeux pâles et de larges épaules tombantes", son rêve est de s'occuper des lapins de la future maison dont rêve George (Steinbeck, Des souris et des hommes). Un livre que tout un chacun a lu dans sa jeunesse et qu'il est impossible d'oublier.
Quant aux dérivés, je vous les laisse, si vous êtes inspirés...
anarcho-agnostique et idéaliste pessimiste... et cyclothymique
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