Deux Frères du Grand Orient passent devant un temple maçonnique qui porte cet écriteau : "Pour rencontrer des femmes, entrez adhérer dans notre Obédience mixte".
Le premier décide de rentrer pour voir. L'autre l'attend dehors. Les heures passent. Enfin le premier ressort.
- Alors, lui demande le second, que s'est-il passé ?
- J'ai adhéré, répond le premier !
- Sans blague ! dit le second. Et... tu as rencontré des femmes ?
- Ah ! Vous autres au GO, vous ne pensez qu'à ça, s'exclame le premier !
Un soir, un Franc-Maçon me confiait ses craintes de voir son obédience s'engager sur le chemin de la mixité :
- Avec ma libido, me disait-il, j'angoisse à l'idée de travailler en mixité.
Je l'ai rassuré :
- N'aies aucune crainte, dans une saine mixité ta libido est parfaitement inhibée.
- C'est bien ça qui m'angoisse, m'a-t-il répondu.
Pascale et Sophie étaient amies de longue date, bien que l'une fût franc-maçonne et l'autre non.
Chacune s'en alla un jour dans une maison de retraite.
Il ne fallut pas longtemps avant que Sophie rende visite à sa vieille amie Pascale.
Dès son arrivée, elle fut accueillie à bras ouverts, avec des câlins et des baisers.
- Tu te plais ici ? lui demanda-t-elle ? Dis-moi tout !
Pascale était émerveillée par la nourriture, les installations et les soins. Puis, avec un clin d'œil, elle ajouta :
- Mais la meilleure chose est que j'ai maintenant un petit ami... Et il est franc-maçon !
- C'est merveilleux ! s'enthousiasma Sophie. Raconte tout.
- Eh bien, après le déjeuner, on monte dans ma chambre et on s'assoit au bord du lit. Je le laisse me caresser le haut, puis le bas, et alors nous relisons et comparons nos anciens rituels d'ouverture, de fermeture, d'exaltation ; et nous applaudissons par nos batteries et nos acclamations, un coup la sienne, un coup la mienne...
- Tu as une sacrée chance. Je suis très contente pour toi ma chérie, se réjouit Sophie.
- Et pour toi comment cela se passe ? lui demanda Pascale.
Sophie était aussi très satisfaite de sa maison de retraite et, chose extraordinaire, elle avait également un petit ami.
- C'est merveilleux ! s'exclama Pascale. Et que faites-vous ?
- Nous aussi, nous allons dans ma chambre après le déjeuner. On s'assoit au bord du lit et je le laisse me toucher... au-dessus, en dessous...
- Ah ! Et puis ?
- Comme ni l'un ni l'autre nous ne sommes francs-maçons, nous baisons !
Merci à Hilarion : http://momasite.com/index.htm
L'humour maçonnique n'attire pas le chaland !
Rédigé par : Alain | 06 mars 2011 à 09:34
C'est le moins qu'on puisse dire ! Peut-être que les francs-maçons qui me lisent (s'il y en a) n'ont pas d'humour, et que les non-frans-maçons croient ce qui dit sur cette soi-diant secte mafieuse et ont peur de représailles éventuelles s'ils abondent dans l'humour ! Va savoir !
Rédigé par : Caritate | 06 mars 2011 à 11:46
La franc-maçonnerie me parait être le refuge de vélléitaires ; je n'ai jamais observé une organisation secrète (discrète ?) dont on étale autant les us & coutumes !
Vélléitaires et pas assez ou trop libidineux quand on apprend que certains font de la non-mixité un "combat" ... les cons !
Rédigé par : JeanBalthazar | 06 mars 2011 à 12:23