Voilà ce que j'ai lu ce matin dans un blog ami. Je vous passe les détails. Vous rendez-vous compte ?
Que nenni, je ne suis pas en pause. Cependant, j'avoue que j'aimerais parfois prendre la pose...
J'ai repéré des annonces qui me tentent, et entre les deux mon coeur balance.
Mais pourquoi se priver. Choisir, c'est renoncer, n'est-ce pas ?
"Immortalisez votre amour à Paris"
Le baiser de l'hôtel de ville, de Doisneau...
Depuis près de 60 ans, ce cliché est un symbole pour les amoureux parisiens. Skiss, agence photo parisienne, propose aux couples d'immortaliser à leur tour leur amour dans les rues de la capitale. Au programme, deux heures et demie à trois heures de shooting avec la Concorde,, la tour Eiffel ou le Louvre pour toile de fond. Un souvenir unique en perspective : www.skiss.fr
J'irais volontiers me faire shooter dans des poses lascives si seulement quelqu'un voulait m'accompagner !
Et je profiterais de mon séjour parisien pour aller tenter ma chance à l'agence Masters qui utilise des seniors pour présenter la mode : http://www.mastersmodels.com/francais.html ; là aussi je prendrais la pose...
Mais qu'est-ce que c'est que cette sonnerie stridente ? En voilà des façons ! Arrêtez !
Zut, c'est mon ange gardien qui me claironne dans les oreilles que je ferais bien de me réveiller.
Si on ne peut même plus rêver...
Qu'y a-t-il de plus puissant qu'un rêve?
Rédigé par : cruella | 02 février 2011 à 22:22
c'est de se réveiller et de revenir à la réalité ! Cruella
Rédigé par : Héléanne | 02 février 2011 à 23:19
Je veux bien te shooter où tu veux dans Paris. C'est comme la fameuse histoire du vieux Lord British assis devant le feu de l'immense cheminée de leur manoir, lisant le journal tandis que son épouse fait à côté de la broderie. Après deux heures de silence, il se racle la gorge et dit avec son inimitable accent (je n'essaie même pas) :
"Darling, nous devrions mettre un peu de fantaisie dans nos relations sexuelles... vous rappelez-vous les deux chiens que nous avons surpris à copuler l'autre jour pendant notre promenade, au coin Baker Street et et Main Street ... j'aimerais essayer avec vous cette position..."
"Je m'en souviens parfaitement et je suis d'accord pour essayer cela avec vous, Darling... mais - humm - ne pourrions-nous pas trouver des rues où nous sommes moins connus ?"
Rédigé par : Grincheux Grave | 03 février 2011 à 10:02
Le Palais de Chaillot serait-il selon toi un endroit moins fréquenté ?
Rédigé par : Caritate | 03 février 2011 à 10:09
"La vertu de l’homme libre se révèle également grande à éviter les vices qu’à les surmonter"
Illustre Inconnu
Rédigé par : JeanBalthazar | 03 février 2011 à 19:26
Ni illustre (pas encore mais ça viendra peut-être, va savoir !), et pas inconnu pour tout le monde !
Rédigé par : Caritate | 03 février 2011 à 19:38
"La vertu de la femme libre se révèle également grande à éviter la luxure qu'à la surmonter" !
Rédigé par : Noisette | 03 février 2011 à 22:06
L'impératif catégorique (Emmanuel, si tu me lis ...) d'une exultation du corps est, hélas, considérée par le commun en nombre comme un appel à la décharge quand il faudrait parfois entendre une invitation à la jubilation. Il n'est pas de bonne ou mauvaise luxure ; il y a celle du partage et celle du bidet, celle du sujet et celle de l'objet.
Michel Onfray a écrit de belles et pertinentes choses sur cela, qu'il nomme "le libertinage solaire et radieux".
Rédigé par : JeanBalthazar | 04 février 2011 à 08:53
Masturbons-nous... intellectuellement, philosophiquement, spirituellement, voire psychiatriquement...
Et après ? Vivrons-nous plus heureux ? Mourrons-nous moins déchirés ? Comme il doit être bon parfois d'être dé-cérébré, dés-affecté... plutôt que dé-primé !
Rédigé par : Caritate | 04 février 2011 à 13:11
Ce n'est pas une intellectualisation du sensible que je défends, seulement la capacité à poser aussi et parfois une distance sur nos émois. Tout ne se satisfait pas de la décharge ; la preuve beaucoup sont dans la répétition vaine.
Mais, je te donne volontiers raison ; décharge donc, décharge jusqu'à plus soif. Si tu le permets, ton retour d'expérience m'interessera.
Rédigé par : JeanBalthazar | 04 février 2011 à 15:27
Voyeur !!!
Rédigé par : Caritate | 04 février 2011 à 19:11
Voyeur ? Fichtre ! Curieux de l'humain incurable seulement !
Rédigé par : JeanBalthazar | 04 février 2011 à 19:42
Une simple égratignure ne blesse pas à mort, mais elle peut réveiller des blessures plus profondes et inconséquemment laissées en l'état.
Rédigé par : JeanBalthazar | 04 février 2011 à 19:46
"Il n'est si petit chat qui n'égratigne." i.e. un ennemi, aussi faible qu'il paraisse, n'est jamais inoffensif.
Et un ami, aussi fiable qu'il paraisse, est-il toujours inoffensif ?
Rédigé par : PS & LL | 05 février 2011 à 10:38
Si tu cherches de l'inoffensif, charles ingalls devrait te combler.
Rédigé par : JeanBalthazar | 05 février 2011 à 14:00
Non merci ! J'ai toujours préféré l'atmosphère enfumée des bars et leurs relents de bière à l'air pur de nos campagnes verdoyantes ! Et j'aime les coups de griffe des chats qui ne se laissent pas importuner, du moment qu'ils alternent avec des pattes de velours.
Rédigé par : PS & LL | 05 février 2011 à 14:26