Il faut bien que de temps en temps j'essaie de justifier mon qualificatif de Libertine (soft, très soft...). Voici donc un test proposé sur un site, trop facile, simplement destiné à balayer certaines croyances et à affiner les connaissances de certains (on n'en sait jamais trop, dans tous les domaines), et surtout à se mettre en jambes (j'ai dit : en jambes !)
Bien entendu, mes plus fidèles commentateurs ne sont pas concernés !
L’orgasme masculin correspond à :
a. l’éjaculation
b. la sensation de plaisir
c. le tout-début de la détente après le summum de l’excitation
Réponse c : L’orgasme masculin correspond au tout-début de la détente, juste après le summum de la sensation de plaisir. L’éjaculation n’est absolument pas synonyme d’orgasme, car ils peuvent être totalement déconnectés : il existe des orgasmes masculins sans éjaculation et éjaculations sans orgasme.
PS : Il a aussi des éjaculations rétrogrades. A ne pas confondre avec des éjaculations internes.
A quoi reconnaît-on l’orgasme féminin ?
a. aux cris qu’elle pousse
b. aux contractions involontaires et rythmées du vagin
c. aux battements de son cœur qui s’accélèrent
Réponse b : On reconnaît l’orgasme féminin aux contractions involontaires et rythmées du vagin. Celles-ci sont au nombre de 3 à 13, espacées en moyenne de 7/10 de seconde. Ces contractions sont fortes et rapprochées au début, puis de moins en moins puissantes et de plus en plus espacées. Leur nombre est d’autant plus important que l’excitation de départ l’était. Les cris ou les battements du cœur ne sont pas des signes évidents d’orgasme féminin.
PS : Alors, elle simule ou pas ?
L’orgasme :
a. procure toujours du plaisir
b. peut se produire physiquement sans grand plaisir émotionnel
c. entraîne un stress physique
Réponse b : L’orgasme masculin ou féminin peut très bien se produire sans être associé à la sensation de plaisir intense qui lui est généralement attribuée. Il existe des orgasmes pas très « jouissifs », des orgasmes agréables sans plus et même parfois des orgasmes douloureux, même si la plupart sont naturellement associés à un plaisir intense.
PS : Il peut aller jusqu'à la perte - brève - de connaissance. La petite mort !
Le plus intense des plaisirs, c’est :
a. l’orgasme
b. la sensation de désir
c. les préliminaires
Réponse a : Le moment où le plaisir sexuel est le plus grand, le plus intense, c’est l’orgasme. Tous les moments d’une relation sexuelle sont naturellement agréables mais, physiquement, l’orgasme est le plus intense, même si certaines personnes affirment préférer l’intensité du désir, ou la montée du plaisir lors des préliminaires.
PS : L'attente...
Le terme orgasme vient :
a. du mot latin signifiant jouissance extrême
b. du mot grec signifiant bouillonner d’ardeur
c. du mot grec signifiant éjaculer
Réponse b : Le terme orgasme provient du grec ancien : ὀργασμός / orgasmós, de ὀργᾶν / orgân, « bouillonner d'ardeur »
PS : Il vaut mieux bouillonner de 5 à 7 que de boire le bouillon d'onze heures.
La femme a en général plus de plaisir si :
a. le pénis de son amant est de bonne taille
b. son partenaire sait tenir longtemps sans éjaculer
c. il sait la caresser en s’adaptant à son plaisir à elle
Réponse c : Le plaisir d’une femme ne dépend guère de la taille du pénis de son partenaire. Il dépend beaucoup plus de l’attitude de son partenaire pendant l’amour. Sait-il s’occuper d’elle ? S’intéresse-t-il à son plaisir à elle ? Sait-il s’adapter ? L’étonner ? C’est ce qui fait le plaisir féminin, bien plus que la durée de la relation sexuelle ou la longueur du sexe masculin.
PS : On ne le dira jamais assez : il vaut mieux une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille ; ou une petite courageuse qu'une grosse paresseuse.
Après l’orgasme, l’excitation diminue :
a. lentement chez la femme et rapidement chez l’homme
b. lentement chez l’homme et rapidement chez la femme
c. rapidement en quelques secondes chez les deux partenaires
Réponse a : Après l’orgasme, l’excitation diminue très rapidement chez l’homme, le faisant enter en période réfractaire, temps pendant lequel l’érection n’est plus possible. En revanche, chez la femme, l’excitation diminue lentement, en plusieurs minutes. Il en résulte qu’il vaut mieux dans un couple que la femme jouisse la première car ainsi elle reste réceptive encore plusieurs minutes souvent suffisantes pour que son partenaire parvienne lui aussi au septième ciel. Si au contraire c’est lui qui atteint l’orgasme le premier, il risque de la laisser au bord de son plaisir, car il ne peut continuer à être disponible.
PS : Dors, mon petit ange, dors...
La zone du corps qui déclenche le plus facilement l’orgasme chez l’homme, c’est :
a. le pénis entier
b. la peau des testicules
c. le gland
Réponse c : La zone érogène la plus efficace chez l’homme, c’est le gland du pénis. On peut même être plus précis en parlant de la couronne du gland et du frein. Cependant, autour du pénis, il existe des zones qui, même étant moins érogènes, le sont pourtant de manière intéressantes : le pénis tout entier, les bourses, le périnée en arrière des bourses, et même la face interne des cuisses ou la zone de l’anus.
PS : Un vaste domaine ... même un point G.
La zone du corps qui déclenche le plus facilement l’orgasme chez la femme, c’est :
a. le fond du vagin
b. le clitoris
c. le point G
Réponse b : La zone qui est la plus à même de déclencher l’orgasme féminin lorsqu’elle est stimulée, c’est le clitoris, pourvu de très nombreux corpuscules de volupté, les capteurs du plaisir. Le point G n’est efficace que pour 10% des femmes, tout comme le fond du vagin.
PS : Que penser des organsmes nocturnes, ou à distance, même sans aucun contact, où seule la stimulation due au fantasme provoque un orgasme ?
Quand on sait qu’on ne peut pas avoir d’orgasme, il vaut mieux :
a. éviter pour un temps la sexualité
b. se faire des câlins sans sexe pour garder une intimité amoureuse
c. faire l’amour sans orgasme pour préserver la complicité du couple
Réponse c : Même quand on n’atteint pas l’orgasme, faire l’amour rapproche un couple. Et puis, comme l’orgasme est loin d’être le seul plaisir sexuel, on peut tout de même partager beaucoup de plaisirs ensemble : le plaisir de se voir nus, celui de se désirer, de se caresser, de se surprendre, de se respirer, de s’écouter chuchoter…
PS : Pourquoi pas !
Désolée, aujourd'hui, pas d'illustration, ni photo, ni vidéo, ni enregistrement sonore !
Allez, je me lance : j'ai même des orgasmes quand l'amoureux m'embrasse. c'est normal, docteur ? Nom d'une muqueuse, quel pied !
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 27 novembre 2010 à 12:33
- J'te raconte pas...
- J'aurais bien aimé que tu racontes, moi !
- Ben si, j'te raconte...
- I'm'dit : J'ai envie de baiser avec toi !
- Moi j'ui dis : Moi j'baise pas, je fais l'amour...
Rédigé par : Caritate | 27 novembre 2010 à 12:54
Pourtant d'aucuns disent un petit dessin vaut mieux qu'un long discours ...
Pour la taille du pénis, comme disait Coluche: "C'est pas ceux qu'ont les plus grandes oreilles qu'entendent le mieux ... et puis moi ça m'arrange !"
Rédigé par : Dominique | 27 novembre 2010 à 13:02
Je ne participe pas, j'ai en horreur de parler de sexualité, ces engins qui se dressent, ces muqueuses qui s'humidifient et s'offrent, ces jets de sperme, les éjaculations féminines, la masturbation solitaire ou en duo, lécher, sucer, avaler, prononcer des mots crus à haute voix... tout cela me répugne.
Rédigé par : Grincheux Grave | 27 novembre 2010 à 14:00
Tu as raison, GG, sus aux mots crus, si suggestifs, tels bite, con, branlette, cunnilingus, feuille de rose, pipe, foutre, tarte aux poils, zeb, etc. qui pourraient exciter des esprits chatouilleux.
Ecoutons :
http://www.youtube.com/watch?v=PtXzVFYPkyc
plutôt que :
http://www.youtube.com/watch?v=FE9L-x6lSMA&feature=related
Tu as raison, GG, n'en parlons plus...
Rédigé par : Caritate | 27 novembre 2010 à 15:14
Peut-on en vouloir à une partenaire qui prît la peine de simuler, nous témoignant ainsi sa sollicitude ie une attention soutenue et affectueuse.
Rédigé par : JeanBalthazar | 27 novembre 2010 à 15:27
La reconnaissance du ventre, en quelque sorte !
Rédigé par : Caritate | 27 novembre 2010 à 15:47
"sus" aux mots crus: concupiscent, uranus, orbite, converge. Comme disait Coluche c'est pas des gros mots, mais pour les placer dans la même phrase ...
Rédigé par : Dominique | 27 novembre 2010 à 16:26
OUiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Rédigé par : Alain | 27 novembre 2010 à 19:13
Comme dirait Gaspard Proust:
"Quand on sait que 95% des femmes sont clitoridiennes... Pourquoi s'emmerder à bander!"
Rédigé par : Fredouat | 27 novembre 2010 à 19:34
Mais pour le fun, Piou-Piou, pour le fun... Parce que Fun lavage, Fun rinçage et Fun régénérant !
Rédigé par : Caritate | 27 novembre 2010 à 19:53
JEANBALTHAZAR met le doigt sur un sujet grave : la simulation orgasmique de certaines femmes. Elles peuvent nous berner pendant des centaines de coïts. Et quand j'écris "pendant", je réponds aussi à FREDOUAT, qui met le doigt sur une autre sujet intéressant, très intéressant.
Rédigé par : Grincheux Grave | 28 novembre 2010 à 09:59
GG, des centaines de coïts avec la même femme ? Quelle drôle d'idée ! Quant à la remarque de Fredouat, vous bandez parce que cela vous procure du plaisir, à vous d'abord...
Rédigé par : Caritate | 28 novembre 2010 à 10:21
Il ne manquerait plus que l'on ne prenne pas de plaisir !
Pour seulement donner, faudra s'adresser à l'Armée du Salut.
Rédigé par : JeanBalthazar | 28 novembre 2010 à 13:05
Mais on ne vous le refuse pas, soyez-en certains !
Rédigé par : Pépites | 28 novembre 2010 à 14:28
les femmes arrêteront de simuler l'orgasme quand les hommes arrêteront de simuler les préliminaires
Rédigé par : yanneck | 30 novembre 2010 à 19:04
@yanneck : good shot !
Rédigé par : Mesluciolles | 30 novembre 2010 à 20:14
Mesluciolles, quel joli nom, et puis, ça éclaire le chemin...
Cela m'évoque un ver de terre amoureux d'une étoile, ou plutôt une luciole attirée par un astre !
Rédigé par : Caritate | 30 novembre 2010 à 20:27