J’ai un excellent ami qui n’a qu’un défaut, c’est d’être un coureur de jupons, toujours à lorgner sur une paire de seins ou de fesses ; il ne peut pas s’en empêcher.
L’autre jour, il lui est arrivé une histoire dont il ne s’est pas vanté, même sur son blog où pourtant il en raconte des vertes et des pas mûres... Mais tout finit par se savoir dans une petite ville comme Paris. Il avait dragué ce jour-là dans un bar une charmante brunette qui n'avait pu résister à ses charmes - il est bel homme, a de la conversation et ne manque pas d'humour - et il l’avait accompagnée chez elle pour une petite sieste cochonne. Les femmes sont ainsi, de nos jours, l'égale des hommes...
Ils étaient au lit, en pleine action, quand ils entendirent une clé tourner dans la serrure.
– Merde, mon mari ! Prends vite tes vêtements et saute par la fenêtre !
– Mais je suis tout nu et il pleut à verse.
– Ne discute pas ! S'il te trouve, il te tue !
Il a donc attrapé ses affaires et sauté par la fenêtre. Est arrivé à ce moment-là un groupe de joggers et, pour passer inaperçu, il s’est mêlé à eux.
L’un des joggers, hilare, le voyant dans son plus simple appareil, s’est adressé à lui :
– Vous courez toujours tout nu ?
– Oui, j'adore sentir le vent sur ma peau, ça me donne une sensation de liberté...
– Mais que faites-vous avec vos affaires sous le bras ?
– Comme ça, à la fin du jogging, je me rhabille aussitôt et je vais directement travailler.
– Et vous courez toujours avec un préservatif ?
Un court instant pris de court, mon ami, qui ne manque heureusement pas de réparties, lui répondit :
– Ah non, seulement quand il pleut...
Sacré Dédé !
SUITE : le Pape ne met plus le préservatif à l'index
Je me réjouis en apprenant ce matin qu'ayant lu cette historiette, le Pape a pris conscience de l'importance du préservatif dans la protection contre le virus HIV. Il a déclaré que "dans certains cas, quand l'intention est de réduire le risque de contamination, cela peut quand même être un premier pas pour ouvrir la voie à une sexualité plus humaine, vécue autrement". Je ne savais pas que mn blog était lu au Vatican. Bien entendu, je partage cet honneur avec son initiateur :
Merci Dédé !
Farpait ! absolument farpait! Quand le mensonge va jusque là, ça s'appelle de l'art.
Rédigé par : Valérie Pineau-Valencienne | 20 novembre 2010 à 17:07
Mais qui ment ? demanda l'ingénue.
Rédigé par : Caritate | 20 novembre 2010 à 17:16
Dédé ou GG ?
"Pris de court" et "réparties", bravo Caritate !...
Rédigé par : Dominique | 20 novembre 2010 à 19:29
La sieste cochonne adultérine dans le lit conjugal, pour stéréotypée qu'elle soit, est inhabituelle et fort peu prudente ! Dédé serait il joueur ?
Rédigé par : JeanBalthazar | 20 novembre 2010 à 19:50
Il s'agit bien d'un dénommé Dédé. GG n'aurait pas raté l'occasion de faire de cette anecdote sa blague du samedi, en l'accommodant à sa sauce !
Si certains perdent leurs moyens dans une situation peu prudente, d'autres peuvent au contraire en être tout émoustillés ! A chacun ses plaisirs !
Rédigé par : Caritate | 21 novembre 2010 à 02:41
Ciel! mon mari.
C'est le café du pauvre !(nom de cette sieste crapuleuse)
Il n'y avait donc pas d'armoire, ni penderie dans sa chambre? "la pauvre" LOL
Il tournait une pub pour "Durex" ce sacré Dédé ?
Rédigé par : Héléanne | 21 novembre 2010 à 07:50
"la chair est triste hélas et j'ai pratiqué tous les sex-toys " comme le disait stéphanie, l'émoustillée et méconnue soeur de notre poète.
Rédigé par : JeanBalthazar | 21 novembre 2010 à 14:34
JB, je crois que tu te trompes, il s'agissait de sa maîtresse et non de sa soeur. Elle se plaignait dans ce poème de son homme si mal armé qu'elle devait se contenter de sex-toys.
Rédigé par : Caritate | 21 novembre 2010 à 17:04
Tout est symbole ma BAC sauf quand cela fait vraiment mal comme le disait Arthur quittant la couche de Paul ; d'ailleurs elle se prénomait Marine et sa présence émoustillait comme une divine brise.
Rédigé par : JeanBalthazar | 21 novembre 2010 à 18:57
Voilà une bonne blague !
Rédigé par : porcoleader | 25 novembre 2010 à 19:58