Les gouttes d'eau salée s'évaporent puis retombent en larmes de sang. Le vent mauvais disperse à l'infini des cris de désespérance. Tout ce qui est touché par l'amour devient OR... Le reste n'est plus que néant.
anarcho-agnostique et idéaliste pessimiste... et cyclothymique
Qu'importe le temps Qu'emporte le vent Mieux vaut ton absence Que ton indifférence
Rédigé par : Héléanne | 19 septembre 2010 à 22:58
Rubedo...
Rédigé par : alain | 20 septembre 2010 à 08:44
Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Rédigé par : Le Nain | 20 septembre 2010 à 16:05
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
Tout dise : ils ont aimé !
LE NAIN, pile là où ça fait mal...
Rédigé par : Caritate | 20 septembre 2010 à 17:56
Ces photos sont encore plus éblouissant que celles d'hier. Magnifique ce jeu, j'adore.
Bonne soirée
Rédigé par : Helene | 20 septembre 2010 à 18:46
Arrêtez avec le lac ! vous me filez le bourdon.. Oh gland suspend ton viol ....
La grotte Lamartine à Bourdeau est adorable....Ma jeunesse a été bercée par ce lac et ses amours...
Rédigé par : alain | 20 septembre 2010 à 18:55
Alain, je ne te reconnais plus ! Des propos osés dans ta bouche, que t'arrive-t-il ? Tu parles du viol du bourdon, peut-être...
Rédigé par : Caritate | 20 septembre 2010 à 18:58