Saint Firmin est originaire de Narbonne, il est disciple et ami de saint Césaire d'Arles. A 22 ans, il est l'un des premiers évêques de l'ancien diocèse d'Uzès dans le Gard. Il est l'un des signataires du concile d'Orléans en 541. Sa réputation d'orateur et de théologien s'étendit jusqu'en Italie. Il meurt à l'âge de 37 ans.
A la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe, les progrès techniques dans l'imprimerie ont permis la réalisation de déliés extrêmement fins. Pour cette époque, ce fut une prouesse de la gravure des poinçons et plus encore du moulage de ces déliés si fins, pour des caractères en plomb ! Ces caractères marquèrent l'édition et la presse du XIXe siècle. Il se caractérisent par un fort contraste entre les pleins et les déliés et par des empattements filiformes. En italie, ce fut le Bodoni, en Allemagne le Walbaum et en France le Didot.
Firmin Didot (1764-1836) fait partie d'une dynastie d'imprimeurs, éditeurs et typographes, du XVIIIe siècle à nos jours. Il travaille avec son frère à perfectionner son art, particulièrement en tant que graveur et fondeur. Il fut le premier à faire des éditions stéréotypes.
Le nom d'une des deux unités typographiques - le point typographique - porte son nom : le point Didot.
Mon voisin,vieux bougon, accuse son épouse de "ne pas savoir lire".Goethe à 80 ans, doutait encore de savoir parait'il. Je n'ai pas vraiment d'approche mais l'Histoire de la source même, l'écriture et l'imprimerie, est un enchantement qui me fascine depuis-depuis,comme on dit le long des grands fleuves africains.
Merci Libre Libertine,de nous diffuser ces délicats "parfums"...
Rédigé par : JeanMarc | 11 octobre 2009 à 08:10
Mais "elle" vous en prie ! Tout le plaisir est est pour elle !
Rédigé par : Caritate Libertine | 11 octobre 2009 à 17:04