Peut-on imaginer Rosalie sans César... et sans David ? C'est la question posée par Claude Sautet en 1972.
Rosalie (Romy Schneider) vit depuis quelques temps avec César (Yves Montand), vendeur en métaux de récupération. Le jour du remariage de sa mère, Rosalie retrouve un ami d'autrefois, David (Sami Frey). Celui-ci, au cours de la réception qui suit, avoue à César qu'il aime encore Rosalie. A partir de ce moment, César fait tout pour éloigner David, mais il irrite si profondément Rosalie que celle-ci part vivre auprès de David. César n'abandonne pas pour autant la partie, et rejoint le couple sur la côte. C'est au tour de David de rompre avec Rosalie. Le temps passe. Un jour, dans son atelier de dessin à Paris, David voit arriver César. Celui-ci s'inquiète : Rosalie, peu heureuse, semble bien avoir besoin de David. César conjure David de se rendre auprès d'elle. David refuse d'abord, mais César y met une telle violence qu'il part avec ce dernier rejoindre Rosalie en Vendée... où l'amitié des deux hommes s'approfondit. Mais lequel des deux Rosalie aime-t-elle vraiment ?
C'est le classique trio amoureux, même si je crois que le plus courant est : un homme - deux femmes.
Un petit +, voire un gros + : Le record de la femme qui a le plus maigri au monde est détenu par une Américaine nommée Rosalie Bradford (1943-2006). Elle a perdu 409 kilogrammes à partir de son poids le plus élevé jusqu'à son poids le plus faible.
On ne saurait oublier que nous sommes le 4 septembre, date de naissance de la III° République. En souvenir de ce jour, de nombreuses rues en France portent le nom "du Quatre Septembre" !!!
Pour remercier Géronte de son apport
Une copine berlinoise m'informe que le 4 septembre est la date anniversaire de la currywurst. Le 4 septembre 1949, Herta Heuwer, qui tenait une baraque à saucisses sur la Stuttgarter Platz, créa une sauce à base de tomates, curry, paprika, Worcesterhire sauce, pour en napper les saucisses.
Rédigé par : Caritate | 05 septembre 2009 à 08:33
Et puisqu'il faut une vision masculine, ce prénom me rappelle la célèbre Citroën ROSALIE présentée au salon de Paris d'octobre 1932. C'est la dernière Citroën à roues motrices à l'arrière. André Citroën avait acheté, à Chrysler, les droits du moteur flottant, le 'Floating-Power’ qui était un dispositif de suspension du moteur évitant les vibrations.
Cette voiture, déclinée en un grand nombre de modèles de carrosseries, remporta, à l'époque, un grand succés. Un 8 CV de série, appelée ‘Petite Rosalie’, carrossée en caisse simplifiée, allégée et mieux profilée remporte en 1933, à Montlhéry, le record de 300 000 km à 93 km/h de moyenne. C'est dingue, non ?
Voilà, pour moi, ce qu'évoque Rosalie !
Rédigé par : Géronte | 05 septembre 2009 à 16:04
Bonjour,
Rosalie, c'est également ainsi que les poilus de la guerre 1914-1918 surnommaient leur baïonnette.
Rédigé par : L'Ours | 11 septembre 2009 à 15:44