Une olive peut en cacher une autre...
Etes-vous l'heureux possesseur d'un chat ou d'une chatte ? Oui ? Avez-vous déjà expérimenté l'effet de l'olive sur ces charmantes bêtes poilues ? Ouvrez un bocal d'olives et observez son comportement : c'est de la folie, il ou elle n'a de cesse d'en attraper une, pour la renifler, la rouler entre ses pattes, la grignoter... Trempez vos doigts dans le jus du bocal ou dans l'huile d'olive : il ou elle va vous lécher jusqu'à disparition de la dernière goutte, en ronronnant de plaisir. Offrez-lui un grattoir en bois d'olivier : il ou elle passera de longs moments à se frotter dessus en relevant son arrière-train.
L'olive a un effet aphrodisiaque sur les chats et les chattes, c'est une véritable drogue qui a sur eux des effets semblables au viagra ! Ah ces sacrées phéromones qui font leur perdre la tête ! Je vous souhaite, heureux possesseur d'un minou, de passer de bons moments avec votre animal de compagnie préféré !
Seulement 9h30 ce matin, et je viens déjà d'apprendre une chose importante. Merci ! Je vais en parler derechef à mes deux chattes.
Rédigé par : Grincheux Grave | 05 mars 2009 à 09:34
Voici la preuve qu'il n'y a ni heure ni âge pour en apprendre sur les chattes.
Rédigé par : Caritate Libertine | 05 mars 2009 à 10:03
Zut, il va falloir que j'achète des olives pour essayer sur mes deux matous. Moi qui n'aime pas ça.
Remarquez, deux gouttes d'eau de Javel sur un grattoir leur font le même effet.
Rédigé par : Le Nain | 05 mars 2009 à 18:24
Comme je constate que vendredi 6 mars à 11h le Billet sur "colette" n'est pas en ligne ici, je me farcis le travail, par un habile copié-collé de wikipedia, peux pas mieux faire dans le délai imparti.
Colette est issue d’une famille pauvre, logeant à Corbie en Picardie (ENCORE LA PICARDIE ?). Son père, Robert Boellet, maître menuisier et sa mère, Marguerite Moyon se dévouaient aux pauvres. Mais les années passent et ils n’avaient toujours pas d’enfant. Ainsi ils prient saint Nicolas de leur donner un descendant. À 60 ans, Marguerite met au monde une fille le 13 janvier 1381. Elle se nomme Nicolette en hommage au saint mais elle est plus couramment Colette, diminutif de son prénom.
Colette reçoit une éducation très religieuse et accorde beaucoup d’importance à la Passion du Christ sur laquelle l’entretenait beaucoup sa mère, femme très pieuse qui se confessait et communiait chaque semaine. Dès sa plus tendre enfance, à 4 ans, Colette vit de prière perpétuelle et aide les pauvres.
Suivant son désir, elle fut inhumée dans un tombeau, sans linceul ni bière, à même la terre, dans le cimetière de Gand. En 1471, l’évêque de Tournai entreprit une enquête suite à des miracles survenus sur sa tombe. Ainsi, on en découvrit 14 à Hesdin, 15 à Gand, 4 à Arras et encore bien d’autres à Poligny et Auxonne.
Elle fut béatifiée en 1625 et fut canonisée par le pape Pie VII le 24 mai 1807. (Prononcez Pie VII "pissette" ça fait toujour rire)
J'aime bien ce prénom, Colette, qui me semble délicieusement féminin dans sa consonance : Colette, zézette, fillette, quéquette, etc. Ne dit-on pas que la grande Colette elle-même y succomba, elle qui connut des amours saphiques, zézette contre zézette... d'ailleurs Colette adorait les chattes (RE-LIRE LE BILLET SUR "OLIVE", comme quoi tout ce tient)
Rédigé par : Grincheux Grave | 06 mars 2009 à 11:19